ANALYSE DE LA LITTÉRATURE SUR LA SITUATION
DE LA SOCIÉTÉ POST-INDUSTRIELLE
PAR DES SANTOS NEGRÓN DÍAZ
PROJET SPÉCIAL PRÉPARÉ ARRÊTE
LE CHAPITRE PUERTORRIQUEÑO DU CLUB DE ROME
OCTOBRE 1995
ÉDITION SPÉCIALE AUX SOINS DE L'AUTEUR
AOÛT 1999
PROLOGUE
En 1968 le chef d'entreprise et l'humaniste italien Aurelio Peccei a réuni dans l'Académie Lincey de Rome,
à un groupe de personnes bonne volonté et de prestige gagné dans le domaine scientifique, politique, culturel et patronal
en vue de contribuer à la paix et au bien-être social et économique du monde. Est ainsi né le Club de Rome. A commencé son
travail à traversée de la réflexion et la recherche sur ce qu'il a alors commencé à appeler la problématique mondiale, ou
l'ensemble de problèmes du monde. Il a assumé le compromis de transmettre leurs études et analyse aux pouvoirs publics et
le secteur privé au moyen de la publication de rapports et par le biais de l'organisation de réunions ouvertes au dialogue
interdisciplinaire, dans diverses scènes nationales et internationales. Au présent le Club est composé de cent membres, provenant
de sept continents. Comme puertorriqueño, pour mo' il est un honneur de me compter parmi eux.
Depuis la publication en 1972 de son premier
rapport, Les limites de la croissance, Le Club est devenu une autorité morale insoslayable à l'échelle planétaire,
une voix de la conscience qui alerte et oriente en ce qui concerne les grandes questions d'un monde chaque jour plus complexe.
Entre ses dernières publications il est trouvé La première révolution globale, qui a atteint une importante répercussion
publique, y La capacité pour régir, qui traite le problème du gouvernement dans les scènes national et international
contemporains.
À à long ce qui est des années qui ont passé depuis la fondation du Club de Rome, on a créé des associations nationales
dans les divers pays. La première s'est formée en Hollande suite à une
réponse publique écrasante aux premières versions de Les limites de la croissance. Les associations qui sont appelées aujourd'hui des chapitres, comptent aujourd'hui vingt-neuf
et ils sont étendus à cinq continents. Celle de Port Riche a été fondée
en 1994. Le livre de Santos Negrón Díaz, Analyse
de la littérature sur l'économie post-industrielle, c'est un projet spécial préparé par cet économiste distingué pour
le Chapitre Puertorriqueño du Club de Rome.
L'humanité se trouve devant ce que Harland Cleveland, distingué fonctionnaire et penseur américain
a appelé la naissance d'un nouveau monde, dont les caractéristiques sont les communications instantanés à l'échelle planétaire,
l'informatique, l'obsolescence de nation- la nation, le nombre croissant de pays démocratiques, les marchés globaux et l'absence
de tensions de la guerre froide.
Dans ce nouveau monde, la logique qui déplace
les économies a changé. La ressource humaine fondamentale n'est le capital, ni les ressources minérales ni le travail manuel.
La connaissance, la capacité de l'esprit humain d'utiliser productivement l'information, est la ressource économique fondamentale
de nos jours. La façon d'ajouter valeur, de créer des richesses, est par l'application de la connaissance au travail.
Ce changement fondamental autour du facteur
impulsif dans elle était post-industriel présente de grandes occasions et des défis transcendantaux pour Port Riche. Il s'ensuit
que le Chapitre Puertorriqueño du Club de Rome estimerait d'une grande importance qu'on compile la littérature économique
abondante sur ce sujet et il se présenterait en manière résumée avec les réflexions pertinentes pour la mettre en rapport
avec la réalité puertorriqueña.
Ce projet a été effectué en manière brillante par le Dr. Santos Negrón et le Chapitre puertorriqueño
on fait plaisir de le présenter à travers cette publication.
Rafael Hernández Colón
En Ponce, Puerto Rico, mars 1996
ANALYSE DE LA LITTÉRATURE SUR LA SITUATION DE LA SOCIÉTÉ POST-INDUSTRIELLE
ABSTRAIT
Le but de cet essai est d'analyser
en manière incluse et d'identifier et résumer les sujets et les idées dominantes de la littérature qui a coulé pendant les
dernières cinq années sur les perspectives et les orientations de base de la société post-industrielle. L'attention se concentre
certains aspects critiques comme l'évolution de la structure socio-économique, les politiques de développement économique,
le changement technologique, le rôle de l'état, le développement des télécommunications et l'informatique, les processus de
globalisation et la formation de blocs économiques.
Cette analyse servira de base
à identifier et à analyser, dans un projet ultérieur, les défis et les occasions que la société puertorriqueña confrontera
dans le futur et les stratégies qu'il sera nécessaire d'implanter pour obtenir que l'Île ait une insertion effective dans
le nouvel ordre mondial.
Bien qu' on analyse
les aspects théoriques et historiques du sujet, on place un plus grand poids dans l'analyse de la situation contemporaine.
Se vaste l'analyse pour inclure des aspects sociaux, socio-économiques
et de politique publique du sujet.
Vu l'importance qu'ont les
industries de télécommunications et le développement de l'informatique et des industries basées la connaissance en général
dans la structure de la société post-industrielle, il se consacre attention particulière à cette matière.
Le travail est organisé autour
de l'analyse d'un groupe d'oeuvres fondamentales sur la société post-industrielle.
Dans la première partie de
l'essai, on examine la nature et la portée du projet.
Dans la seconde partie, on
fait une brève description du fond théorique et historique du capitalisme, vu que le travail est orienté à l'analyse d'oeuvres
sur les sociétés de structure capitaliste qui ont évolué vers elle il était post-industriel.
La troisième partie on résume
les oeuvres principales. Dans chaque cas on examine:
la portée de l'oeuvre ; les principales idées et les concepts ; les tendances, diagnostics et prévisions identifiées ; et
les suggestions d'action économique, socio-économique et de politique publique et d'actions de planification stratégique suggérées
au niveau les pays et/ou les régions.
Dans la quatrième partie se présente une synthèse de la discussion des oeuvres principales,
en concentrant l'attention les sujets et les tendances dominantes et on essaye d'identifier les éléments de consensus que
suggère la littérature consultée.
Finalement dans la cinquième
partie on identifie les sujets et les tendances de la société post-industrielle les plus importants pour Port Riche et on
offre les conclusions et les recommandations du travail.
Éblouie par tant et inventions tellement admirables,
les gens de Macondo ne savaient pas par où commencer à être étonnés.
Cent années de solitude
Gabriel García Márquez
Je ne sais
pas comment sauter
depuis le bord d'aujourd'hui
au
bord de de demain.
La
rivière est portée, entretemps,
la
réalité de cet après-midi,
à des mers sans espoir.
Je surveille à l'est, à l'ouest,
je surveille au sud et surveille au nord...
Toute la vérité dorée
qui
encerclait à l'âme la mien,
quel
avec un ciel complet,
on tombe, partie et fausse.
... ET je ne sais pas comment sauter
depuis le bord d'aujourd'hui
au bord de de demain.
Été, Juan Ramón Jiménez
There are more things in heaven and earth, Horatio,
Than those that are dreamt of in your philosophy.
Hamlet, Prince of Denmark, William Shakespeare
En vol irrévocable s'enfuit l'heure,
mais celle-là le meilleur
calcul compte,
qui dans la leçon et l'étude nous améliore.
Soneto, Francisco de Quevedo
I. INTRODUCTION
Selon le Dictionnaire de l'Académie
espagnole, pos (du latin post) c'est une préposition inséparable qu'il signifie derrière ou après. Dans cette dernière voix et dans quelques autres il est écrit généralement
comme en latin, comme il est fait dans ce travail. Il est aussi utilisé
comme adverbe avec une signification égale dans la manière adverbiale dans pos.
La société post-industrielle
(que quelques auteurs appellent la société postcapitaliste) est donc le successeur de la société industrielle, tout comme
le postcapitalisme il viendrait être l'ordre système économique et social qui est venu après le capitalisme, que la même source
définit comme « le régime économique fondé la prédominance du capital comme élément production et créateur de richesse
".
Desdichadamente, tellement rapide la discussion se écarte des simples contenus qu'il établit
le dictionnaire se dans lequel il entre un vaste, complexe et fascinant domaine analyse et recherche dans laquelle coexistent
toute classe de théories sur l'origine, les causes, la structure, l'évolution et le futur de la société post-industrielle.
Ainsi, quand le Chapitre Puertorriqueño
du Club de Rome, par le biais de son Secrétaire Général, Dr. Manuel Torres Márquez, m'a invitée à rédiger une analyse sur
la littérature dynamique et étendue qui a été produite autour du sujet de la société post-industrielle et elle m'a indiqué
le grand intérêt qui le Président du Chapitre, Lic. Rafaël Hernández Colón, ex-gouverneur de Puerto Rico, avait dans l'affaire,
ai accepté la charge sans vacillation, mais non sans certain inquiète. Je me suis imaginé en voyageant ce pourquoi Joseph Schumpeter, le grand économiste autrichien, aurait appelé « une
mer sans lettre de navegación¨, sans davantage de boussole que mon intuition propre et le bon Conseil et l'aide intellectuelle
des amis du Club de Rome, et sous une grande pression de temps.
Mes prévisions initiales ont été très justes. J'ai dû lire une volumineuse quantité de matériels,
je me suis senti parfois accablé par l'ampleur de la charge et par la brièveté du temps disponible pour l'effectuer, mais
ai reçu toujours un appui solidaire des compagnons du Club de Rome et d'autres amis, qu'a pris la forme de gestions pour obtenir
les livres et d'autres matériaux nécessaires pour effectuer le travail et de Conseils utiles sur comment interpréter la portée,
la situation intellectuelle et le contenu de de beaucoup les livres et les articles qu'on examine dans cet essai.
Je dois exprimer mon remerciement
à quatre personnes qui ont eu la gentillesse de me prêter des livres pour que je puisse effectuer cette charge : Lic. Rafael
Hernández Colón, Dr. Leonides Santos Vargas, Prof. José J. Villamil (celui qui a mis disposition la choisie bibliothèque d'Études
Techniques, Inc.) et Dr. Orlando de la Rosa.
Dois aussi remercier pour patience et pour résignation mon conjoint, d'Aurín Valcárcel
Cervera, et de mes filles plus petites Natalia et Car elle, celle que pendant presque tout un été ont dû sacrifier beaucoup
d'occasions agrément et divertissement pour que je dispose du temps pour développer cet essai.
Par fortune,
ma fille une plus grande, Aurea Teresa, a échappé à cette pression, puisque Texas se trouvait
à Houston, en complétant une des rotations de ses études de
médecine.
Le but de ce travail est d'analyser
en manière incluse et d'identifier et résumer les sujets et les idées dominantes de la littérature qui a coulé pendant les
dernières années sur les perspectives et les orientations de base de la société post-industrielle. L'attention se concentre
certains aspects critiques comme l'évolution de la structure socio-économique, les politiques de développement économique,
le changement technologique, le rôle de l'état, le développement des télécommunications et l'informatique, les processus de
globalisation et la formation de blocs économiques.
Cette analyse servira de base
à identifier et à évaluer, dans un projet ultérieur, les défis et les occasions que la société puertorriqueña confrontera
dans le futur et les stratégies qu'il sera nécessaire d'implanter pour obtenir que l'Île ait une insertion effective dans
le nouvel ordre mondial.
Bien qu' on analyse
les aspects théoriques et historiques du sujet, on place un plus grand poids dans l'analyse de la situation contemporaine.
Se vaste l'analyse pour inclure des aspects sociaux, socio-économiques
et de politique publique du sujet.
Vu l'importance qu'ont les
industries de télécommunications et le développement de l'informatique et des industries basées la connaissance en général
dans la structure de la société post-industrielle, il se consacre attention particulière à cette matière.
Le travail est organisé sur
base de l'analyse d'un groupe d'oeuvres fondamentales sur le sujet.
Dans la seconde partie. on
fait une brève description du fond théorique et historique du capitalisme et de la société post-industrielle.
La troisième partie on résume
les oeuvres principales. Dans chaque cas on essaye
d'examiner: la portée de l'oeuvre ; les principales idées et les concepts ; les tendances, diagnostics et prévisions identifiées
; et les suggestions d'action économique, socio-économique et de politique publique et d'actions de planification stratégique
suggérées au niveau les pays et/ou les régions.
Dans la quatrième partie se présente une synthèse de la discussion des oeuvres principales,
en concentrant l'attention les sujets et les tendances dominantes et on identifie les éléments de consensus que suggère la
littérature consultée.
Finalement dans la cinquième
partie on identifie les sujets et les tendances de la société post-industrielle les plus importants pour Port Riche et on
offre les conclusions et les recommandations du travail.
Je remercie au Chapitre Puertorriqueño
du Club de Rome pour occasion qu'ils m'ont offerte pour faire une contribution à l'analyse de cette importante littérature
et confie qu'en utilisant comme point de départ effort modeste est d'autres lecteurs plus profonds et plus sagaces puissent
être examinés dans les complexités de la littérature sur le monde post-industriel et trouver des idées et de l'inspiration
pour résoudre les problèmes de Port Riche, de l'Amérique latine et du monde complet.
II. FOND THÉORIQUE ET HISTORIQUE
La
théorie économique conventionnelle indique que les quatre problèmes de base de tout système économique sont: l'assignation
des ressources; la distribution de la recette ; la stabilité du niveau de l'activité économique et l'emploi plein des ressources
productif-est dire, main d'oeuvre, capital et technologie ; et la détermination du taux de croissance de l'activité économique.
Un système économique n'est pas autre chose qui l'ensemble concepts, objectifs, méthodes
et institutions qu'utilise la société pour résoudre ces problèmes économiques de base.
Les deux principales unités
de décision économique dans le capitalisme sont les entreprises et les familles. Les moyens de production (capital, terre, technologie) sont plus grandement entre les mains des
entreprises privées, qui opèrent avec des fins profit ou profit. Le volume
de la population manque de moyens de production (il serait mieux de dire, il dispose essentiellement de capital humain) et
dépend de la vente de ses services productifs pour obtenir ses recettes. Le gouvernement joue un rôle modeste, essentiellement
coordination et règlement dans l'économie, et de provision de l'infrastructure économique de base. Les actions et les décisions
des entreprises et les familles sont coordonnées au moyen de processus d'échange sur les marchés biens et services et de ressources
(marché du travail et marchés marchandises de base ou « commodities ».)
La théorie économique postule
que, dans des conditions compétitives idéales, c'est-à-dire, s'il existe un système de prix efficace et il n'y a pas d'obstacles
significatifs au libre flux des biens et les ressources sur les marchés, on observe les résultats suivants dans ce qu'on appelle
généralement le capitalisme compétitif de libre marché :
Les ressources tendent à être assignés en manière optimale, ce qui permet de produire le maximum
produit et patrons de production qui correspondent avec les préférences des consommateurs comme ils sont exprimés sur le marché
biens et services.
La recette tend à être distribué en accord avec les valeurs de la productivité marginale déterminés
sur le marché de ressources.
Le niveau ajouté d'activité économique tend à se stabiliser au niveau de plein emploi (en supposant
pleine flexibilité des salaires monétaires) des ressources.
Le système tend à promouvoir une efficience dynamique et un taux de croissance qui garde correspondance
avec les décisions des entreprises et les individus en ce qui concerne l'économie contre la consommation et le travail
contre le loisir.
Bien qu' aucune économie dans
la pratique n'ait jamais atteint tous les éléments de de tel paradigme, les économies des Etats-Unis, l'Angleterre et plusieurs
pays de l'Europe se sont approchées assez à à ce dernier à la fin du siècle XIX et principes ce siècle, et de ces mêmes économies
et d'autres de développement capitaliste plus récent comme le Japon, le Canada et l'Australie et la majorité des pays de l'Amérique
latine ont des institutions capitalistes clairement définis dans ses structures actuelles.
La
première grande critique au paradigme du système capitaliste elle a effectué Carlos Marx, celui qui après une analyse exhaustive
le développement et la transformation du capitalisme, depuis la phase initiale ou précoce de de celui-ci jusqu'à à moitié
du siècle XIX, a pronostiqué la chute du système étant donné la convergence de trois tendances de base : sévérité chaque fois
plus grande des fluctuations cycliques ; concentration et centralisation le capital et la réduction de la concurrence entre
les capitalistes ; inmiserización croissant et antagonisme chaque fois plus accentué des travailleurs (spécialement des travailleurs
manufacturiers).
Jusqu'à un certain point, il peut être dit que Marx
a formulé la première théorie sur le système économique qui doit arriver au capitalisme classique en pronostiquant que l'effondrement
du capitalisme porterait au surgissement de la société socialiste basée le contrôle des travailleurs sur les moyens de production
et l'allocation de ressources et sur un plan central de coordination de l'économie comme un tout (socialisation des moyens
de production).
L'analyse que John Maynard Keynes a effectuée dans
son livre célèbre The General Theory of Employment, Interest and Money, publié en 1936, on peut considérer à la fois
une critique démolisseuse de la théorie et de la réalité historique du capitalisme (interprété dans le sens classique ou neoclasico)
et une défense de la thèse que, au moyen des politiques fiscales et monétaires adéquates, soigneusement administrées par l'état,
on peut sauver le capitalisme, il est de dire, de stabiliser les fluctuations du système et réduire le chômage sans nécessité
de changer la structure des relations entre les affaires, les travailleurs et le gouvernement.
Keynes a développé la thèse que l'action sélective et stratégique de l'état ou plus
spécifiquement le maniement les frais et les recettes du gouvernement et de l'offre monétaire, peut mener au plein emploi
des ressources et à la croissance sans interruption abrupte de la production et l'emploi ajoutés. Bien que lui il ne soit
pas arrivé à poser dans ces termes, dans une certaine manière Keynes a conçu le futur du capitalisme comme un système dirigé
ou guidé par l'état, qu'il rendrait inutile la socialisation radicale ou autres transformations de l'ordre politique et économique
en vue de les corriger tu manques du système.
Une autre grande contribution
à la critique du capitalisme et une autre grande vision du futur de la société capitaliste a été effectuée par Joseph Schumpeter,
celui qui dans son livre classique Capitalism, Socialism and Democracy, publié en 1942, il a évalué en profondeur
le développement et la transformation de capitalisme dans sa phase industrielle avancée. Schumpeter a aussi pronostiqué la
chute du capitalisme, mais contraire à Marx il a indiqué qu'une telle chose se produirait non étant donné l'échec ou la contradiction
structurelle du système, mais étant donné le succès lui-même du capitalisme, par le processus que Schumpeter a appelé « la
destruction créative ". EN examinant les facteurs qui induiraient la disparition du capitalisme, Schumpeter a identifié les
suivants : l'obsolescence de la fonction patronale ; la destruction de la couche protecteur formé par la classe aristocratique
et les institutions de la société precapitaliste, qui jouaient un rôle intégrateur du gouvernement de l'ordre capitaliste
; la destruction du cadre institutionnel de la concurrence atomística et les marchés libres étant donné la monopolisation
progressive des industries ; et l'hostilité croissante des forces anticapitalistes : l'état (dans la forme de hautes contributions
aux affaires), les unions et les coupes (avec ses exigences salariales et leurs actions antimonopolisticas, respectivement).
Ainsi, Schumpeter a conçu la société post-industrielle comme une variante du socialisme ou une espèce de capitalisme dirigé,
dans lequel le vieux style dynamique et agressif du capitalisme, basé la libre initiative patronale, n'aurait déjà pas cadre
pour l'action.
On
peut citer des contributions plus récentes innombrables à l'analyse du capitalisme, bien que non semblables en portée au défi
simultané que Schumpeter lui a lancé à à ce qui est classiques, à Keynes, à Marx et à ceux propres théoriques du socialisme
comme alternative au capitalisme. Entre les travaux les plus excellents
on trouve l'analyse optimiste qu'a faite Colin Clark au début de 1940, dans son livre Les conditions du progrès économique;
les études triunfalistas et optimiste de l'Institut Hudson, préparés par Herman Kahn et Anthony Weiner vers le milieu de la
décennie de des 60 ; ce qui est classique de la théorie du développement économique qui a publié Walt Whitman Rostow
au début des années 50 sous le titre de Les étapes de la croissance économique; la recherche qui a fait au début de
la décennie des 60 les grands économistes américains Fritz Machlup sur la production et la distribution de la connaissance
aux Etats-Unis ; les visions futuristes de Kenneth Boulding et Robert Heilbronner au début de la décennie de des 70
; et finalement, pour fermer une liste qui pourrait être beaucoup plus longue, la grande oeuvre Modern Economic Growth,
qui a publié Simon Kuznets en 1966, dans lequel on fait une analyse incluse des caractéristiques qualitatives et quantitatives
de la croissance et on étudie le rôle de de l'innovation, de tant scientifique et technologique comme social, dans la structure
économique moderne et dans l'expérience de développement économique à l'échelle globale.
Cependant,
à notre avis, préalable à l'explosion de la littérature sur la société post-industrielle qui a été observée dans le premier
lustre de cette décennie, la contribution la plus influente à l'analyse du futur de l'économie capitaliste ( et des économies
hautement industrialisées en général), tant par son contenu empirique rigoureux, qui il a été fondé un modèle économétrique,
en se basant des ordinateurs, de l'ordre productif mondial, comme par ses approches théoriques dramatiques et de politique
économique, ça a été le livre Les limites à la croissance: Un rapport au Projet sur le Predicamento de l'Humanité,
du Club de Rome. Dennis L. Meadows, Jorgen Randres et William W.
Behrens ont été les principaux responsables de la redaction de cet effort précieux dont la thèse centrale répercute encore
nos jours: "Si des changements substantiels dans le système actuel ne se produisent pas, la population et la croissance
industrielle il sera certainement arrêté dans le siècle prochain, plus tard ".
Plus
spécifiquement, Les limites à la croissance il est arrivé à trois conclusions fondamentales:
1.
Si les actuelles tendances de croissance dans la population mondiale, l'industrialisation, la pollution, la production d'aliments,
et l'exploitation de ressources naturelles continúan sans modification, les limites de la croissance dans notre planète seront
atteintes à un certain moment dans les prochaines cent années. Le résultat
le plus probable sera une déclinaison soudaine et tant incontrôlable de la population comme de la capacité industrielle.
2.
Il est possible d'altérer ces tendances de croissance et d'établir des conditions de stabilité économique et écologique capables
d'être soutenues dans le futur. L'état d'équilibre global peut être conçu
de telle sorte que les nécessités matériels de base de chaque personne sur la terre soient satisfaites et que chaque personne,
femme ou homme, il ait de l'égalité d'occasions d'effectuer leur potentiel humain individuel.
3. Si la population du monde
décidait de se diriger en ce second sens, et non dans le d'abord, dès qu'elle entame des efforts pour l'obtenir, plus grandes
seront ses possibilités de succès.
Dans bonne mesure, la littérature
que nous devrons résumer la prochaine section est héritière un riche, littérature variée et intensément polémique sur la structure
et le futur du capitalisme, de la société industrielle et de la civilisation technologique en général.
III. RÉSUMÉS DES OEUVRES PRINCIPALES
BUSINESS WEEK, 21st Century Capitalism, Supplément Spécial
Vu l'ampleur
de la charge que nous devrons affronter, il convient que le premier pas de cette longue journée elle est l'analyse d'un article
léger, mais de grand impact qui a publié la revue Business Week sous le titre de 21st Century Capitalism.
Il s'agit
d'un essai de coupe triunfalista évidente qui souligne non seulement le renforcement et l'expansion du capitalisme (ou économie
de marché) dans les pays hautement industrialisés mais sa floraison dans toutes les régions de la planète, inclusivement dans
les pays que jusqu'il fait peu se qu'ils appelaient des socialistes ou des communistes. A significativement augmenté l'interaction
culturelle et l'échange de technologie entre les pays, ainsi que le flux marchandises, services, des ressources humaines y
capital. En conjonction avec la globalisation du capitalisme, on observe l'adoption universelle de la démocratie constitutionnelle
(ou variantes de de celle-ci) comme forme de gouvernement et l'entrée des pays de l'orbe dans ce que l'on appelle la Révolution
Informatique.
Cependant,
l'article prévoit sur les impacts négatifs de ces tendances dans quelques pays: chômage étant donné la destruction industries
locales, dommages environnementaux, et aggravation de la distribution de la recette et la richesse. Ces éléments négatifs pourraient produire un contrecoup qui annule les réalisations des
politiques d'ouverture commerciale qui ont dominé durant les dernières années.
Plus
spécifiquement, les tendances positives dominantes qu'identifie l'article sont les suivantes:
L'amélioration dans les niveaux éducatifs crée une classe moyenne globale qui partage
des concepts semblables sur la citoyenneté, le progrès économique, et les droits humains.
Convergence des pays dans l'adoption de politiques économiques libérales: baisse inflation,
politique fiscale prudente, augmentations dans le taux d'investissement du secteur privé de l'économie, amélioration des systèmes
éducatifs, etc.
Les compagnies multinationales contribuent à l'accélération de l'échange
innovations et technologies.
Sous l'impact de l'intégration globale et de l'adoption universelle des
politiques libérales, le rythme de croissance économique a été accéléré dans les pays moins développés, en arrivant à dépasser
parfois (comme c'est le cas pour les pays industrialisation de l'Asie) celui des pays hautement industrialisés.
L'interdépendance globale et l'adoption de politiques anti-inflationnistes, a aidé à réduire
les taxes inflationnistes à l'échelle globale.
Dans l'Est de l'Europe, ainsi qu'en Asie et l'Amérique latine, on consolide
la production de biens de haute qualité et de services hautement spécialisés, ce qui placera à ces pays dans des conditions
de concurrencer effectivement avec les pays les plus avancés sur le marché mondial.
Or, la réaction au succès mondial du capitalisme n'a pas été faite attendre.
Dans les pays les plus
avancés ils sont commencés à observer des protestations contre la nouvelle concurrence qui vient des pays en développement:
mesures antimigratorias, interdiction d'importations de bas coût et restauration de politiques protectionnistes.
On
observe des négociations intenses entre les pays sur la pollution de l'environnement, les droits de propriété et les standards
des centres de travail.
Finalement, dans les pays en développement augmentent les exigences de meilleures
conditions salariales, de rénovation de l'infrastructure de base, et d'un plus grand accès aux biens de consommation, une
période où on aggrave les problèmes environnementaux et croît la pression démographique.
En
somme, cet article, riche des données et détails qui ne peuvent pas se refléter dans tellement serrée de la synthèse, identifie
une réalité essentielle pour notre analyse : la tension croissante entre les succès de l'économie post-industrielle à l'échelle
global-croissance du commerce mondial, expansion de la richesse matérielle, diffusion de la technologie et de la connaissance
et la capacité d'absorption du changement et d'amélioration des conditions de vie des habitants des pays qui ne sont pas encore
entrés au monde industriel (ou post-industriel.)
John
Naisbitt
Global Paradox
En utilisant
la technique de recherche qui est connue comme analyse de contenu, John Naisbitt a développé une littérature d'élaboration
théorique modeste, mais très riche dans l'identification, analyse et prévision affaires et tendances.
Le grand
prestige que John Naisbitt a atteint avec ses livres Megatrends (1980) y Megatrends 2000 (1990), il a fait que
ce nouveau livre se transforme instantanéement un « bestseller ».
Ce
que Naisbitt appelle le Paradoxe Global, laquelle a découvert en projetant les tendances en développement actuellement, il
est que entretemps plus grande est l'économie globale, plus puissants sont ses joueurs plus petits. C'est-à-dire, à mesure que le monde avance vers une plus grande intégration économique, les parties
qui le composent on retourne davantage de nombreuses et les plus petites : la même fois que l'économie globale croît la taille
de ses parties il se contracter. ET entretemps plus grand
et plus ouverte est l'économie mondiale, davantage de dominion auront les compagnies de taille petite et moyenne. Il s'ensuit
que la coopération et l'échange, à savoir, la formation d'alliances stratégiques entre des entreprises, constitue la grande
tendance dans la Communauté d'affaires globale. Précisément, une des raisons pour la prolifération des alliances stratégiques
est la tentative des compagnies d'éluder la croissance. La remoción des barrières au commerce a ouvert le chemin pour que
les petites entreprises aient l'accès facile aux marchés. La réduction de la taille des affaires est, après tout, une expression
de la nécessité de globaliser plus efficacement les économies.
Naisbitt
centre son analyse deux industries globales par excellence: les télécommunications et le tourisme (ou industrie de voyages).
La
révolution dans les télécommunications engrandecerá le rôle de l'individu, qui aura davantage d'accès l'information, à une
plus grande vitesse dans l'exécution et une plus grande capacité pour communiquer avec toute personne ou bien avec de grandes
quantités personnes et institutions dans le monde complet. C'est-à-dire,
les télécommunications sont la force de base qui crée en même temps l'économie mondiale et en faisant à ses parties plus petites
mais plus puissantes. Ainsi, les compagnies tendent à être restructurées,
être décentralisées et déplacer le pouvoir et la prise de décisions à la base de l'organisation, c'est-à-dire, aux niveaux
hiérarchiques plus faibles qui est possible.
L'industrie
mondiale de voyages est un corollaire de la révolution dans les communications: la plus grande connaissance de la réalité
d'autres pays induira le désir de les connaître de de près et il fera que les personnes, d'une part, affirment leur
identité culturelle et continuité propres, mais, d'autre part, tendent à voyager à d'autres pays dans des volumes directement
proportionnels avec l'expansion de l'informatique.
Naisbitt
pense que cette décentralisation radicale est en outre observée dans la sphère politique : les citoyens qui vivent dans les
démocraties représentatives tendent à exercer leur influence en manière directe par le biais des réseaux informatiques. De manière égale, l'auteur assigne une grande signification à la tendance l'universalisation
et l'homogénéisation des règles pour faire des affaires et pour régir la conduite politique dans les nations.
Sur un plan plus vaste, Naisbitt pronostique que le
renforcement de la démocratie, induite par la dissémination des technologies informatiques, mènera à une augmentation dans
le nombre de pays, qui seront des unités de gouvernement chaque fois plus petites, mais ce même processus rendra impertinente
l'idée pays distincte et frontières entre eux, au fur et à mesure que la technologie est orientée à l'intégration des personnes
à des réseaux informatiques chaque fois plus puissants.
En
somme, avec la chute du comunismo, la déclinaison de nation-l'état, le développement d'un marché d'échelle mondiale, la dissémination
de la démocratie et la nouvelle révolution des communications, Naisbitt pense que les occasions et les possibilités pour les
individus, les familles, les compagnies et les institutions en général sont beaucoup plus grandes qu'à tout autre époque.
Oeuvres d'Alvin Toffler :
The Third Wave
Le Changement du Pouvoir
Les Guerres du Futur
L'imagination , fine et entretenue
riche prosa et inépuisable vigueur d'investigation d'Alvin Toffler (et dans degré non plus petit de son conjoint Heidi) l'ont
transformé le futuriste le plus renommé des temps modernes et en un des analystes les plus pointilleux que le phénomène de
la société post-industrielle, ce qui nous oblige à inclure dans ce travail ses trois productions plus récentes, à savoir :
The Third Wave (1980), Le Changement du Pouvoir (1990) y Les Guerres du Futur (1994).
Dans The Third Wave, en utilisant la métaphore (et une méthode d'analyse dérivée
de de celle-ci) dont l'histoire, dans certaines conjonctures, il produit des vagues de changement qui heurtent, causent conflit
et tension et changent les bases de l'existence individuelle et collective, Toffler il fait une synthèse à une grande échelle
de l'histoire de l'humanité en vue de consigner les bases pour l'analyse de la phase de l'histoire qui commence maintenant,
qui l'auteur appelle la Troisième Vague. La Première Vague a été la phase
agricole ; la Seconde Vague, la phase industrielle.
L'auteur développe une discussion
vaste et complexe qui défie toute tentative de synthèse, mais qui dans les grandes lignes peut être résumée comme suit elle
suit : selon la révolution industrielle a créé une contracivilización, un système social qui a compris toutes les dimensions
de l'existence humaine et a déplacé le vieil ordre agricole après un et bataille difficile étendue, qui a pris parfois la
forme de guerres sanglantes, on observe actuellement les débuts d'une nouvelle civilisation profondément révolutionnaire qui
défie les bases de l'ordre industriel encore dominant. La variété, l'intensité et l'incohérence apparente des changements
économiques, sociaux, culturels, technologiques et politiques abrupts qui sont observés au sein de la société industrielle
ne sont pas des événements au hasard, mais qui sont les expressions précoces d'une nouvelle civilisation, d'un monde qui émerge
du choc nouvelles valeurs et de technologies, de nouveaux styles de vie et renouvelés modes de communication. Cette réalité
émergente exige la rénovation des systèmes interprétatifs, puisque les vieux schémas explicatifs ne peuvent pas rendre compte
les nouveaux événements et les tendances.
Toffler
décrit la civilisation industrielle comme un système de relations entre quatre sphères d'action: ce qui est tecno-esfera,
partenaire- la sphère, ce qui est info-esfera et la sphère de de pouvoir. Après décrire comment ces sphères sont mises en rapport dans la société industrielle, il développe un argument long
et complexe pour démontrer comment chaque une de ces sphères éprouve un changement révolutionnaire dans le monde actuel. Il essaye de démontrer les relations entre ces dimensions de la réalité, et le lien
de de celles-ci avec voir- la sphère et ce qui est psico-esfera, est de dire, avec la structure de relations psychologiques
et personnelles à travers le quel les changements dans le monde externe influencent la vie privée des personnes.
Toffler démontre comment la nouvelle civilisation
fait usage certains processus et de principes et développe son « superidéologie » propre pour expliquer la réalité
et justifier son existence.
Plus spécifiquement, les principales caractéristiques de la civilisation émergente
que Toffler identifie et examine sont les suivants :
Sources énergétiques diversifiées et renouvelées, depuis les cellules photo-voltaïques, qui
transforment la lumière solaire en énergie, et sources geotermales et de biomasse, jusqu' à des avions qui utilisent l'hydrogène
comme combustible et les automobiles qui sont propulsées au moyen de batteries.
Nouvelles méthodes de production qui retournent beaucoup désuètes des lignes d'union existantes.
Le surgissement de nouveaux secteurs basés l'informatique, l'électronique et la biotechnologie,
que Toffler appelle « les nouvelles hauteurs de l'économie ".
Familles nouvelles, de caractère non nucléaire.
Un Nobel institution appelée « la hutte électronique », qui n'est pas autre chose
qui la capacité des personnes, par l'utilisation d'ordinateurs, pour travailler depuis ses maisons (« telecommuting »),
et qui aidera à disperser la production économique et à alléger les problèmes de congestion dans les secteurs hautement urbanisés.
Changements radicaux dans la structure corporative et dans les modes d'organisation des
écoles.
Nouveaux codes de conduite pour les personnes et les alternatives aux
styles standarisation, synchronisation et centralisation qu'a imposée la société industrielle et les façons de dépasser les
problèmes de concentration de l'énergie, l'argent et le pouvoir politique.
Défi ouvert aux systèmes contrôle bureaucratique, réduction significative du rôle de nation-l'état,
et je développe d'économies de façon autonome.
Gouvernements de structure plus simple, plus effective, mais de
contenu plus démocratique que ceux qui sont observés actuellement.
Dans l'ordre économique resurge l'économie de de ce qui est « prosumidores »,
que ferme l'infraction que la révolution industrielle a ouverte entre les activités de production et les activités de consommation.
En somme, Toffler anticipe de la bataille longue et sanglante entre les partisans
du passé industriel, accrochés aux manières existantes de résoudre les affaires de base de de l'humanité et de ceux qui croient
que le cadre de l'ordre industriel n'est pas adéquat pour confronter les problèmes les plus urgents que le monde et plaident
pour de nouvelles méthodes de les confronter. La
liste de ces problèmes est impressionnante: alimentation, énergie, contrôle d'armes, croissance démographique, conservation
de ressources, contrôle de la pollution, changement dans le climat, problèmes de de ce qui est envejecientes, effondrement
des Communautés urbaines, et la nécessité de travail le plus productif et édifiant.
Toffler
anticipe de grandes luttes dans le futur entre les deux formes de civilisation en conflit et indique que le bon entendement
des nouvelles tendances est un outil fondamental pour changer le monde, ce pourquoi est nécessaire de discerner entre ces
changements qui étendent la vieille civilisation industrielle et ceux qui accélèrent l'arrivée de la nouvelle civilisation.
Dans
Le Changement du Pouvoir (Powershift), Toffler analyse plus en profondeur le sujet des luttes croissantes de de pouvoir
au fur et à mesure que la civilisation industrielle perd son pouvoir et on renforce la nouvelle civilisation technologique.
Ceci est mené au développement d'une théorie du pouvoir social, basée
le concept de de celle tríada de pouvoir- la force, par richesse et connaissance au moyen de laquelle il examine les changements
qui s'approchent dans les affaires, l'économie, la politique et les affaires globales.
Toffler
concentre son attention la manière dans laquelle les changements dans la connaissance causent de grands changements dans le
pouvoir. À son avis, la tendance économique la plus cruciale est l'accentuation
d'un nouveau système pour créer richesse (ce qui est qu'il appelle l'économie supersimbolica) qui se base l'esprit, dans la
connaissance, dans le dominion de l'information, qui déplace le travail physique. Selon l'auteur, le contrôle de connaissance
est l'élément essentiel de la lutte par le pouvoir qui sera entamé dans toutes les institutions humaines : la même chose entre
des entreprises qui concurrencent sur les marchés nationaux et mondiaux, comme entre des pays qui concurrencent par l'hégémonie
politique et économique à l'échelle tant régional comme global.
La
longue argumentation de Toffler, qui inclut depuis des analyses détaillées sur l'utilisation de la force par les corporations
et des états jusqu'à des descriptions de de comment la concentration de richesse entre les mains de quelques individus et
de corporations est traduite dans la capacité pour exercer le pouvoir, aboutit une conclusion évidente: la connaissance, la
source de de pouvoir de plus haute qualité, perçoit chaque jour davantage d'importance.
Quelques tendances de base que Toffler identifie dans la transition de la deuxième
à la Troisième Vague sont les suivantes :
Dans le contexte du nouveau concept de la production, la connaissance,
non la main d'oeuvre bon marché, et le dominion des symboles, non des matières premières, la seront ce qui entraîne et ajoute
valeur.
Dans la mesure qui la force se transforme en loi, le capital et l'argent
ils sont transmutés dans des formes ou des expressions de la connaissance, et le travail est retourné dans la manipulation
d'information et des symboles, les trois éléments du pouvoir convergent, ce qui produira une transformation radicale la structure
ou la base de l'économie: apparaît une économie supersimbolica qui fonctionne avec des règles complètement nouvelles.
L'information qui émane des nouvelles technologies transformera tous les systèmes production
et distribution et créera de significatifs vides de pouvoir que rempliront des groupes ou des institutions de création récente.
Apparaîtront des polémiques nouvelles et déconcertantes autour de l'utilisation
de la connaissance par une partie des entreprises, du gouvernement et les institutions en général, dans la mesure que la monopolisation
de la connaissance peut porter à l'invasion illégale du caractère privé des personnes.
Dans toutes les dimensions de la société et entre les pays il y aura
une lutte intense pour contrôler la ressource la plus cruciale de de ce qui est nouvelle il était: la connaissance.
Il y aura un essor des affaires familiales et toute une gamme de structures
patronales de nouveau je berce, hautement flexibles et qui utilisent à plénitude les avantages et les bas coûts d'opération
qui offrent la technologie d'ordinateurs et les réseaux d'information. Ces
nouvelles affaires concurrenceront efficacement avec les grandes entreprises dans une grande variété d'industries.
Le changement dans le pouvoir aura un impact significatif dans les pays
en développement. Ces pays qui veulent être maintenus à la hauteur des
temps auront que renouveler les bases de leurs systèmes éducatifs, adopter les nouvelles technologies d'information, fortifier
l'infrastructure électronique, et étendre leurs systèmes démocratiques, puisque la liberté d'expression est une condition
préalable pour la concurrence économique dans le nouvel ordre global.
Entretemps plus rapide et effective est la transition des économies en
développement vers la technologie avancée, de meilleures possibilités auront celles-ci de profiter à plénitude des occasions
qui apparaissent dans la nouvelle économie mondiale.
En
somme, dans ce livre Toffler non seulement il remplit son affectation d'analyser le changement dans la structure de pouvoir
qui implique la rénovation des bases économiques, sociales et technologiques de la société post-industrielle, mais il offre
un plan d'action stratégique tant pour les entreprises et les institutions comme pour les pays pour obtenir survivre dans
le nouvel ordre mondial.
Finalement,
dans Les Guerres du Futur (War and Antiwar), Alvin et Heidi Toffler sont donné à la tâche d'appliquer à la guerre ses
méthodes d'analyse du futur. La thèse du livre est que les manières de
faire la guerre reflètent les manières de produire des biens et des services et que, par conséquent, les manières de combattre
contre la guerre doivent garder correspondance avec la manière dans laquelle celle-ci est développée dans l'actualité.
Pour
les auteurs, la guerre et l'antiguerre ne sont pas mutuellement exclusives. Parfois les antiguerres supposent des applications stratégiques du pouvoir militaire, économique et informatif pour
réduire la violence qui à beaucoup d'occasions apparaît comme suite du changement économique, social et technologique accéléré.
La tendance de base que les auteurs identifient est la prédominance ou l'hégémonie militaire
les pays ou les ensembles de pays qui ont obtenu développer un appareil de guerre avec retroalimentación interne, avancées
communications et capacité automatique d'adaptation.
Des
tendances de caractère plus spécifique sont l'utilisation de robots de guerre et l'automatisation en général de toutes les
phases de la guerre.
Il
s'ensuit que le livre ou essentiellement une réflexion sur la guerre et une identification les éléments ou les guides d'une
stratégie orientée à la préservacion de la paix fondée la connaissance et la prévision des manières qui adopteront les conflits
de guerre dans le futur.
Samuel
P. Huntington
The Clash of Civilizations
Il s'agit
d'un article polémique qui est apparu dans la revue Foreign Affairs et qu' il s'est immédiatement transformé un classique
de l'analyse de la politique mondiale dans elle il était post-industriel.
La thèse centrale de travail est que les sources fondamentales
de conflit dans le nouvel ordre mondial ne seront pas à caractère économique ou idéologique, comme il s'est produit dans le
passé, mais indo lui de culturel : les principales collisions seront entre des nations et des groupes de différentes civilisations.
« Tu les prononces » ou lignes de confrontation directe entre
des cultures et des civilisations seront les lieux de bataille dans le futur.
Les raisons pour lesquelles se produiront ces conflits
sont les suivantes:
Les différences entre des civilisations sont fondamentales, et incluent non seulement des éléments
historiques, linguistiques et traditionnels mais aussi religieux.
Le monde se HA tornade un lieu plus petit (dans bonne mesure étant donné
l'avance des communications) et interactif. Cette interaction croissante
intensifie la conscience des civilisations et, par la voie du contraste, acentúa les différences entre celles-ci.
Les processus modernisation économique et changement social à travers
le monde séparent aux gens d'identités locales ancestrales et tendent à affaiblir nation-l'état comme source d'identité. Ce vide a été rempli par les religions, spécialement par celles d'orientation
fondamentaliste, qui tendent, d'une part, à consolider les liens locaux, et d'autre part, à établir des forts délimitations
en ce qui concerne d'autres religions.
La croissance de la conscience des civilisations se par le rôle double des puissances occidentales.
Devant la claire hégémonie (économique, politique et militaire) d'Occident, la réponse dans bonne partie du reste de monde
est le désir d'adopter des chemins et des modes d'action non occidentaux.
Les caractéristiques et les différences culturelles sont moins changeants
et moins faciles à résoudre que les conflits à caractère économique et politique.
Finalement, on observe un accroissement dans le économique, ce qui tend à renforcer la conscience
de la civilisation.
Selon
l'auteur, la collision de civilisations se produit à deux niveaux. Au
niveau micro, ils heurtent des groupes adjacents le long de « tu elles prononces » entre des civilisations. Au niveau
macro, les états de différentes civilisations concurrencent par le pouvoir militaire et économique, combattent par le contrôle
des organismes internationaux, et promeuvent compétitivement leurs valeurs politiques, culturelles et religieuses.
Selon l'auteur le phénomène
de la collision de civilisations est observé
dans divers secteurs du globe : Celui-ci de l'Europe ; Un demi - Est ; Nord de l'Afrique ; entre
Paquistán et l'Inde ; entre le Japon et les Etats-Unis ; et entre le Japon et la Chine.
Plusieurs
événements contemporains sont expliqués par Huntington sur base de la théorie mentionnée, à savoir:
La Guerre du Golfe Pérsico, comme le choc d'une coalition de pays occidentaux (alliés avec l'Arabie
Saoudite et Koweit) avec Iraq, un état arabe qui, dans un plus grand ou plus petit degré, a eu l'appui moral d'autres états
arabes et/ou islamiques.
Le conflit entre les Bosniaques et les Serbes en ancienne Yougoslavie.
Conflits dans l'ancienne Union Soviétique, en particulier la tension entre des Turcs et arméniens.
Vu
que, selon l'auteur, la propension est à auquel ces conflits sont plus fréquents et peut-être plus graves dans le, ce qu'il
pourrait porter à des guerres globales, l'auteur suggère que, à court terme, on doit promouvoir une plus grande coopération
et une unité dans les civilisations et fortifier les institutions internationales. À long terme, les pays occidentaux doivent développer un entendement plus profond des hypothèses philosophiques et
religieuses d'autres civilisations et identifier les éléments communs entre l'Ouest et le reste du monde, de sorte que si
on n'obtient pas l'objectif d'une civilisation universelle, au moins les différentes civilisations apprennent à coexister
pacifiquement.
Kenichi Ohmae
The End of the Nation State : The Rise of Economies régional
Ce livre présente un
argument vigoureux et ingénieux pour la thèse que nation-l'état est dans des voies d'extinction. Selon l'auteur, nation-l'état
non seulement ont perdu la capacité pour contrôler les taux de changement et la valeur internationale de sa monnaie, mais
déjà ne produit pas de volumes réels significatifs d'activité économique. Par
conséquent, nation-l'état a déjà claudicado de son rôle comme élément participant de base l'économie mondiale. À une occasion
des machines puissantes orientées à la création de richesse, nation-l'état se sont transformées maintenant un appareil inefficace
de redistribution de la recette et la richesse, dont le destin est principalement déterminé par des forces externes.
L'auteur
allègue que quatre grands force-ce qui est capital, les corporations, les consommateurs et le communication-se ont combiné
pour usurper le pouvoir économique qu'une fois a eu nation-l'état.
L'auteur explique comment les communications contrôlent maintenant le mouvement de
capital et des corporations à travers les frontières nationales, et comment les consommateurs, chaque fois plus exigeants,
déterminent le flux biens et services, et comment les politiques économiques gouvernementales sont disciplinées par les actions
de consommateurs informés, corporations maximizadoras de profits et la logique des marchés de devises.
Tandis
que les gouvernements se aux symboles nationaux, on observe une véritable révolution dans ses frontières: on forme des zones
d'action économique suprêmement affluents, unités naturelles d'affaire, qui apportent des améliorations réelles, concrétises,
dans les niveaux de production et dans la qualité de vie de leurs habitants. Ces
pôles croissance et prospérité économique, que l'auteur appelle états régionaux sont apparus, par exemple, entre San Diego
et Tijuana ; à Singapour et parties Malaisie et Indonésie ; en Honk Kong et la portion adjacente de la Chine continentale
; dans le Silicon Valley, en Californie ; dans le Pacifique Nord-ouest aux Etats-Unis ; et en Lombardie.
Dans la pratique ces nouvelles
unités économiques ont des liens plus étroits avec d'autres états régionaux dans l'économie globale qui avec la nation qui
les loge, et constituent des marchés essentiels en croissance pour les biens et des services des corporations globales.
L'auteur
indique que le surgissement de région-l'état change profondément et pour toujours la logique globale qu'il définit comment
les corporations opèrent et comment les gouvernements de nation-l'état comprennent leur rôle propre dans les affaires économiques.
Dans
la théorie de l'auteur, région-l'état sont des unités optimales d'opération économique, secteurs développés autour d'un centre
économique régional qui croise parfois les frontières des états et qui peut avoir une population de jusqu'à 20 millions. Ces secteurs appartiennent à l'âge de l'informatique et ses caractéristiques
centrales sont les suivants : ils sont propulsés par capital privé ; ils constituent des expressions du dominion de l'informatique
; ils ont des réseaux autonomes d'entreprises privées interdépendantes ; ils font valoir le capital externe et à des entreprises
de classe et « expertise » mondiale, ce qui entraîne la création de travaux de haute qualité, généralement dans
les domaines de la haute technologie ; ils cherchent la prospérité régionale harmonieuse basée des compagnies interdépendantes
et orientées à la formation de réseaux d'appui technologique et d'investigation ; et ils créent des services intensifs dans
l'utilisation d'information.
Dans
les nouvelles circonstances, Ohmae conçoit à l'état non comme le moteur ou l'axe central de l'économie qui a été dans le passé,
mais comme un agent catalytique du développement économique régional. L'état doit accepter la nouvelle réalité de l'économie globale et aider au développement de « ports locaux d'entrée
" et faire tout ce qui est possible pour favoriser et nourrir les régions en promotion, en fournissant l'infrastructure et
le cadre de stimulants fiscaux qui est nécessaire pour que les régions améliorent leur insertion dans l'économie globale et
contribuent ainsi à dynamiser le reste de l'économie nationale.
Peter F.Drucker
Post-Capitalist Society
Sans doute, cette oeuvre
de Drucker, qui s'insère dans le meilleure tradition de l'économie politique (avec un fort contenu philosophique) comme
elle ont cultivé par Stuart Mill, Marx et Schumpeter, est un contemporain classique.
Drucker
décrit comment dans différentes périodes (en négociant habituellement plusieurs siècles) on a observé des transformations
abruptes qui ont influencé tous les aspects de la société: la vision de monde, les valeurs de base, les façons de produire
et de faire des affaires, et la structure politique et sociale. Selon l'auteur, le monde se trouve dans une de ces conjonctures de changement radical, dans une transition d'une période
où ils ont dominé le capitalisme et nation-l'état à une société dans laquelle prédominent la connaissance et les organisations,
laquelle il appelle la société postcapitaliste. Dans cette nouvelle société, la ressource économique principale est le
connaissance et les groupes sociaux dominants sont ceux qui possèdent et administrent
la connaissance, spécialement les travailleurs de la connaissance.
Dans sa synthèse
historique incluse, Drucker examine la Révolution Industrielle, et les révolutions dans les systèmes de gérance, de promotion
de la productivité et de gouvernement des corporations.
Dans son analyse de la structure
postcapitaliste, Drucker introduit de nouvelles analyses sur la fonction des organisations, l'économie de la connaissance,
et la productivité comme priorité sociale et économique. De manière égale,
il examine la transformation de nation-l'état dans ce qu'il appelle le Megaestado-que se transforme le « propriétaire »
de la société, dans l'élément central de l'ordre économique, analyse au nouveau pluralisme des systèmes politiques et la nécessité
de changer le rôle et la mission de l'état. Finalement, l'auteur examine en détail les affaires et les tendances mis en rapport
avec la connaissance et l'utilisation de la connaissance dans la société postcapitaliste.
Dans
sa analyse vaste et complexe, Drucker identifie plusieurs tendances qu'il vaut la peine énumérer:
La nouvelle société ne sera ni socialiste ni capitaliste et sa ressource
principale sera la connaissance, qui sera manié par les organisations.
À l'échelle globale, le système politique postcapitaliste sera constitué non seulement par nation-état,
qui seront encore l'élément clef, mais aussi par des structures transnationales, régionales, locales et encore tribales, qui
concurrenceront entre eux et elles coexisteront.
Les principaux groupes sociaux dans la société de la connaissance seront
les travailleurs de la connaissance : exécutifs de la connaissance qui savent comment l'assigner à des utilisations productives
; professionnels et spécialistes ; et employés des organisations qui administrent la connaissance : les entreprises et les
unions, les forces armées et les hôpitaux, les écoles et les universités, les institutions sans but lucratif et les différents
niveaux du gouvernement.
La société postcapitaliste a besoin de la personne instruite, qu'elle ait accès à l'héritage
du passé et est capable de comprendre et d'apprécier d'autres cultures et traditions, en même temps qu'il domine les éléments
intellectuels et techniques qu'exige la nouvelle civilisation.
Le gouvernement a besoin de nouvelle pensée et d'innovation radicale
dans plusieurs secteurs : la relation entre le gouvernement national et les tâches transnationales ; entre le gouvernement
national et les organisations régionales ; et entre nouvelles mais très différentes régions. Au niveau interne, la grande tâche est de faire que le gouvernement est efficace de nouveau, obtenir qu'elle récupère
une capacité d'activité qui lui permet de se concentrer des affaires qui produisent des résultats, spécialement dans la tâche
de créer un climat adéquat pour l'investissement, ce qui consiste à offrir des stimulants à l'investissement en connaissance
et dans ressources humaines, ainsi que dans facilités productives les affaires et l'infrastructure.
Le défi économique de la nouvelle société sera d'augmenter la productivité
du travail en rapport avec la connaissance (ce qui est que l'auteur appelle « l'application de la connaissance à la connaissance
") et le défi social plus important sera d'intégrer les travailleurs de services, qui manquent de l'éducation nécessaire,
au nouveau système, pour éviter tant la dualité sociale comme l'accentuation de l'inégalité économique et sociale.
Hamish McRae
The World in 2020 : Power, Culture and Prosperity
Dans ce livre l'auteur
fait une analyse soigneuse de la situation mondiale actuelle et des facteurs qui contribuent à la croissance économique. Il
focalise son attention dans les principales régions (Amérique du Nord, l'Europe et l'Est de l'Asie). Il examine ensuite en
détail les principales forces qui promeuvent le changement à l'échelle globale : la transformation démographique, les ressources
naturelles et l'atmosphère, le commerce et les finances, la technologie et les systèmes de gouvernement. Ceci lui permet de tracer une scène du monde durant l'année 2020 pour chacune des principales
régions du monde.
En
termes généraux, l'auteur pose la thèse centrale que, dans le futur, la culture et les valeurs seront les nouvelles sources
d'avantage des pays industrialisés.
Durant l'année 2020, les pays Amérique du Nord, l'Europe et de l'Est de l'Asie se
trouveront dans une concurrence intense. Chaque pays aura la capacité d'imiter avec rapidité et efficacité les actions et
les stratégies de d'autres, puisque les innovations se déplaceront à une grande vitesse à travers les frontières politiques,
ce qui fera que les avantages technologiques ne soient pas soutenables.
McRae
aperçoit que les facteurs traditionnels croissance- de la terre, le capital et les ressources naturel- seront remplacés par
des actifs de indo lui de qualitative, entre lesquels on souligne la qualité, le degré d'organisation, les niveaux de motivation
et la discipline de travail des personnes. Dans tous les contextes, le
gouvernement jouera un rôle plus modeste dans la vie économique et sociale des nations.
Dans
le nouvel ordre qui aperçoit McRae, le mieux predictor de succès sera la capacité qu' a une nation pour établir un bilan approprié
entre la créativité et le développement intellectuel, d'une part, et le degré de responsabilité sociale, par un autre côté.
Il s'ensuit qu'à l'auteur il pense qu'entre les pouvoirs économiques
dominants dans le futur immédiat ce seront des pays qui de nos jours montrent ces caractéristiques, comme la Chine et l'Australie,
qu'on unira aux Etats-Unis, le Japon et l'Allemagne, qui il y a temps ont obtenu un tel objectif, dans la concurrence par
la direction économique mondiale.
Lester Thurow
Head to Head : The Coming
Economic Battle Among Japan, Europe, and l'Amérique
Dans ce livre Lester Thurow, économiste américain
influent et Doyen de Sloan School of Management, de Massachussets Institute of Technology (MIT), fait un effort vigoureux
pour démontrer non seulement que les Etats-Unis se dirige à une bataille économique acharnée avec le Japon et les pays les
plus avancés que l'Europe, mais devra libérer cette lutte d'un inconvénient grave. En effet, selon lui, tant le Japon comme
les pays de la Communauté européenne ont développé et ont implanté des stratégies de long terme qui ne sont pas légalement
acceptables aux Etats-Unis.
L'auteur
affirme que dans sept industries clef qui devront contrôler la production globale dans les prochaines décennies, les Etats-Unis
a la primauté dans seulement un (dans la biotechnologie). Encore dans
le système éducatif, qui est eu besoin pour donner l'je soutiens aux industries émergentes de haute technologie, les Etats-Unis
a un certain degré de retarde en ce qui concerne ses concurrents.
Il
s'ensuit que Thurow consacre le volume de son effort à tracer un plan que les affaires des Etats-Unis doivent suivre en vue
d'améliorer leur compétitivité internationale. Il souligne l'importance
de faire de grands investissements en recherche et développement pour utilisations civiles, de renouveler la plante et l'équipement
des industries, d'améliorer significativement l'infrastructure économique et développer à plénitude les habiletés humaines.
Thurow identifie les
industries dans lesquelles il doit attirer et/ou développer tout pays qui aspire au succès dans le futur : microélectronique,
biotechnologie, les industries de nouveaux matériels, les télécommunications, aviation civile,
robotique davantage de machine-outils et ordinateurs davantage de programmation.
Selon Thurow
les nouvelles sources d'avantage stratégique seront l'éducation et les habiletés de la force travailleur.
Le plan d'action que l'auteur suggère pour que les Etats-Unis obtienne
la pleine compétitivité dans l'économie globale inclut les éléments suivants.
Il est nécessaire d'étudier soigneusement la concurrence : analyser ce que font mieux
d'autres pays et le comparer avec l'activité des entreprises nationales. Ceci l'est ce que l'auteur appelle « benchmarking
international ».
Fortifier les patrons économie et investissement. Éliminer les patrons de desahorro de tant dans le cas des consommateurs comme dans celui
du gouvernement, adopter un système contributif qui offre des stimulants puissants à l'économie et desincentivos à la consommation,
fournir des stimulants forts à l'investissement et produire des budgets plus hauts pour l'investissement gouvernemental en
infrastructure.
Améliorer l'éducation à tous ses niveaux, de sorte que la productivité de travail soit la justification
pour les hausses en salaire. Ceci inclut le développement d'un système d'instruction technique et professionnelle aussi efficace
que celui qui existe en Allemagne.
La création d'alliances stratégiques entre des entreprises, en vue de
conquérir les marchés internationaux, pour obtenir ce qui il sera nécessaire d'amender les lois et les règlements des Etats-Unis,
qui voient ces pratiques comme actions monopolistiques.
Résister aux politiques nationales de développement économique de d'autres
pays-qui selon l'auteur sont plus efficaces que ce qui généralement se accepter-avec une stratégie nationale, clairement formulée,
des Etats-Unis.
Robert Reich
The Work of Nations : Preparing Ourselves for 21st. Century Capitalism
Le but de ce influent livre
de Robert Reich, actuel Secrétaire du Département du Travail des Etats-Unis et respecté économiste politique, est de tracer
un vaste tableau des réalités de l'économie globale émergente et des sociétés qui sont eu un impact par les nouvelles tendances
à l'échelle mondiale. Selon Reich, à un moment où tous les facteurs production- de l'argent, la technologie, les usines et
l'équipement industriel se déplacent sans aucun effort, avec une grande rapidité, à travers les frontières, il perd sens parler
de l'« économie américaine », ainsi que du capital, des produits, et de la technologie Américains.
Selon l'auteur, le seul aspect réellement américain, dans le sens
de l'économie nationale, est la force de travail et les gens américains. Ainsi,
le défi réel qui confrontera les Etats-Unis durant les années à venir est d'augmenter la valeur potentielle de de ce que les
citoyens du pays peuvent ajouter à l'économie mondiale, par le renforcement leurs habiletés et de capacités et en améliorant
les moyens de lier de telles habiletés et capacités accrues avec le marché mondial.
Selon Reich, l'amélioration
de la compétitivité nationale ne sera pas obtenue par la protection et l'allocation des corporations ni par la manipulation
de la politique fiscale (réduire les frais du gouvernement ou découper les contributions), mais par le biais de l'accentuation
de la préoccupation sur la société américaine et en convainquant aux citoyens de la nécessité de faire des sacrifices (spécialement
par privilégiés) par le bien commun, de manière que la majorité de la population peut récupérer le terrain qu'elle a perdu
(sur le plan de la connaissance technique, de l'éducation et du développement d'habiletés productives) et il obtienne prendre
part plus efficacement la nouvelle économie globale.
Pour l'auteur, il s'agit essentiellement d'une affaire
de responsabilité sociale, de la nécessité de forger un but national.
Reich assigne un grand
poids à l'plus important avantage compétitif dans la nouvelle économie globale : l'habileté dans la solution, l'identification
et le maniement de de nouveaux problèmes ou de ce qu'il appelle les services symbolique-analytiques, qui insèrent le travail
de de : chercheurs scientifiques, ingénieurs de programmation d'ordinateurs, directeurs, banquiers investisseurs, avocats
et comptables créatifs et d'autres de coupe semblable.
De
là l'importance que Reich attribue à l'amélioration de l'éducation, à tous ses niveaux, et de l'instruction technique, particulièrement
dans les lieux de travail. La formation de l'analyste symbolique (la vaste classification que l'auteur utilise pour se référer
aux travailleurs de l'intelecto) se base le plein développement de quatre habiletés de base: abstraction, pensée systémique,
expérimentation et collaboration, ce qui doit être supplémenté par le développement d'une culture intégrale qui place les
ressources humaines du pays à la hauteur des exigences, à la variété et à la qualité qui requiert la nouvelle économie mondiale.
Celui appelé de Reich est à auquel les citoyens américains sont disposés à rendre
les sacrifices nécessaires (dans la forme d'un plus grand paiement impôts progressifs, investissement additionnel dans les
universités, développement de parcs de recherche scientifique et industrielle, amélioration de l'infrastructure technologique,
et tu programmes de coopération avec d'autres pays avancés) pour augmenter ainsi le contingent d'analystes symboliques dans
l'économie.
Francis Fukuyama
La Fin de l'Histoire et le dernier homme
Mélange de réflexion sur la
philosophie l'histoire, le texte d'économie politique et l'analyse de l'évolution de la pensée politique contemporaine, ce
livre constitue une des contributions les plus originales à l'étude de la société post-industrielle. Les origines du livre
se trouvent dans un essai célèbre que l'auteur a publié en 1989 dans la revue The National Interest.
Fukuyama
examine l'interaction de deux forces dans l'histoire de l'humanité. D'une
part , ce qu'il appelle « la logique de la science moderne », qui déplace aux hommes vers un horizon nécessités
et désirs dans expansion continue, ce qui il est obtenu par un processus économique rationnel qui aboutit la prédominance
de la démocratie capitaliste libéral. D'autre part, ce que l'auteur, suivant la terminologie hegeliana, appelle « le
désir de reconnaissance ", qui constitue, à son avis, l'plus important facteur explicatif du changement historique.
Fukuyama
développe un argument étendu et intense pour la thèse que l'interaction de ces deux forces ont porté à l'éboulement des tyrannies
de droite (le fascisme et les régimes militaristas) et de gauche (le comunismo soviétique et ses variantes en Europe Orientale)
dans ce siècle et ils induisent progressivement à une grande diversité de pays (certains avec des bases culturelles complètement
différentes) vers l'instauration de démocraties des capitalistes libéraux comme dernière étape du processus historique.
Après une discussion étendue et passionnante, l'auteur arrive à la conclusion qu'à
des fins du siècle XX il peut parler de nouveau d'histoire
directionnel, orientée et cohérente qui conduira probablement à l'humanité, non empece à nombreux
conflits qu'elle faudra résoudre, vers la démocratie libérale.
Les deux facteurs qui expliquent
le concept récupéré de l'histoire sont, d'une part, la science naturelle moderne, qui constitue la seule importante activité
sociale qui, par consensus, elle est à la fois cumulative et conseiller et a eu un effet uniforme-fournit avantage militaire
et rend possible l'accumulation illimitée de richesse ; et d'autre part, la démocratie libérale, qui prédomine dans les pays
les plus développés du monde et induit le progrès et l'industrialisation avancée, même s'on observe des cas de pays autoritaires
avec un progrès économique significatif.
Par hypothèse, selon à l'auteur,
est encore en vigueur le concept hegeliano du souci de reconnaissance, qui propulse à la lutte par la dignité et l'autonomie
de l'être humain, tant sur le plan individuel comme groupe. Cet élément explique comment la culture, la religion, le travail,
le nationalisme et la guerre sont encore des phénomènes déterminants du futur de l'humanité.
L'auteur
fait valoir que la démocratie libérale possède la flexibilité et la capacité pour résoudre les problèmes que pose le souci
de reconnaissance, puisqu'en existant les bases pour la mutuelle tolérance et la coexistence pacifique de pays formation et
cultures différentes, on obtient un équilibre durable, une société stable dans laquelle l'homme est enfin pleinement satisfait.
Devant la nouvelle situation, apparaît l'interrogatrice de de si l'homme qui apparaît
dans la nouvelle étape de l'histoire est, dans le sens qui a indiqué Nietzsche, une personne exempte d'esprit, incapable d'avoir
des aspirations et des désirs de changement. L'exploration d'est interrogatrice ne porte pas à l'auteur à une réponse définitive,
mais permet d'illuminer certains des aspects inégalité et contradiction qui existent dans la démocratie libérale et analyser
certaines des alternatives qui pourraient en darse-incluyendo le retour aux extremismos de droite si la nouvelle société est
incapable de combattre effectivement avec des aspects critiques comme les problèmes de la famille, l'ennui individuel et collectif,
la perte d'identification avec les valeurs nationales, le déracinement social, et le culte à l'action de guerre.
Fukuyama
conclut que tandis que les sociétés modernes ont avancé vers la démocratie libérale comme forme dominante, universalisée de
gouvernement, la pensée philosophique et sociale moderne est arrivée à une allée sans issue, n'obtenant pas un consensus adéquat
sur ce que l'homme est et ce qu'est sa dignité spécifique. Bien que la
démocratie libérale soit la meilleure solution possible au problème humain, il n'obtient pas annuler la contradiction entre
l'exigence de reconnaissance de droits égaux et la nouvelle libération de de ce que l'auteur appelle le megalothymia,
le souci d'affirmation propre, de dépasser autres dans le degré d'excellence et dans l'intensité et la qualité avec laquelle
on vit la vie et on ordonne la destination collective du pays.
Paul Kennedy
Preparing for the Twenty-first Century
L'auteur
du livre célèbre The Rise and Fall of the Great Powers, il utilise l'analyse historicista pour faire une recherche
étendue et intense des tendances générales qui sont observées actuellement le monde et examiner les impacts régionaux de de
ce qui est mêmes en vue de déterminer quels seront les pays gagnants et les perdants suite à ces tendances et déterminer quelles
sont les actions tactiques et stratégiques que les pays doivent adopter pour faire face efficacité aux défis du siècle XXI.
Kennedy
examine six tendances dominantes actuellement : l'explosion démographique, particulièrement dans les pays en développement
; la révolution dans les communications et dans les finances et l'essor des corporations multinationales ; la révolution dans
la biotechnologie et son impact dans l'agriculture à l'échelle globale ; la robotique, l'automatisation et les nouveaux chemins
de la production industrielle ; l'impact de l'activité économique dans l'atmosphère naturelle ; et l'érosion l'autonomie et
les fonctions de nation-l'état.
L'analyse
de de chacune de ces tendances porte à Kennedy à l'identification de patrons qui sont très importants pour la planification
du futur du globe:
La population des pays en développement croîtra à des taxes presque cinq
fois plus grandes que celles des pays développés, ce qui requerra d'utiliser les changements technologiques dans la production
biens et services, spécialement d'aliments, pour éviter une catastrophe à l'échelle mondiale. Les compagnies des pays hautement
industrialisés investissent dans de nouvelles technologies qui pourraient gravement nuire aux pays en développement puisqu'
elles fournissent des substituts pour des produits qui de nos jours sont produits dans ces derniers et qui produisent millions
d'emplois.
Si bien la biotechnologie offre la possibilité d'augmenter significativement la productivité
agricole, il peut altérer l'équilibre productif au niveau global, en nuisant à des pays qui produisent de grandes récoltes
par des méthodes traditionnelles et à des faibles coûts étant donné l'utilisation intensive de main d'oeuvre bon marché.
L'effet serre (« warming global »), la destruction des forêts
pluviales, le drainage des aquifères, l'utilisation étendue du pétrole et ses dérivés, et autres impacts négatifs de la production
industrielle obligent à redoubler les efforts contrôle et maniement environnemental qu'effectuent les organismes internationaux,
bien que celui-ci soit un objectif suprêmement difficile à obtenir.
Les tendances internationales vers
le libre commerce, la nécessité d'alliances régionales pour augmenter la sécurité nationale, la révolution financière et dans
les communications, et les actions pour combattre le terrorisme, le trafic illégal de drogues et les narcotiques, ont fortifié
le pouvoir des organismes supranationaux (ONU, GATT, ESSENCE, Communauté européenne, etc.) et érodé l'autonomie et les fonctions
de nation-l'état.
Après analyser l'impact de ces tendances dans les
différentes régions de la planète (le Japon, l'Inde et la Chine, l'ancienne Union Soviétique, l'Europe et les Etats-Unis),
Kennedy arrive à la conclusion que les sociétés qui possèdent des ressources techniques et éducatives, ampleur de fonds, et
un haut degré de solidarité culturelle sont dans meilleure position pour avoir du succès dans le siècle prochain que celles
qui manquent de ces forteresses.
Donella Meadows, et.à le.
Au-delà des limites de la croissance
Dans ce livre, qui est la
suite de de ce qui est classique Les limites de la croissance, les auteurs mettent en relief qu'on a déjà dépassé certaines
limites et que si elles continúan les tendances actuelles il sera pratiquement inévitable qui le siècle reçu voit l'effondrement
de la civilisation industrielle.
Par
hypothèse, continue à exister l'option d'un futur soutenable et on a observé quelques progrès dans la détention de la détérioration
environnementale. Le développement soutenable sera seulement
obtenu s'il fait un changement radical dans la gérance, production et utilisation des ressources naturelles et on modifie
substantiellement les habitudes de consommation dans tous les pays du globe. Il
faut réduire les flux et la consommation d'énergie et de matières premières en général et obtenir un équilibre entre les objectifs
à court et long terme, en vue de planifier une société réellement soutenable, ainsi que l'assignation d'un poids plus grand
aux principes de suffisance, équité et qualité de vie, au lieu de souligner indéfiniment les réalisations quantitatives de
la production et la consommation.
Commission des Communautés européennes
Livre Blanc : Croissance, Compétitivité et Emploi : Défis et Pistes pour entrer dans le Siècle
XXI
Ce rapport transcendantal
a été rédigé à un moment où la majorité des économies européennes se trouvaient ou en récession ou dans une étape de croissance
économique suprêmement lente, et est destiné à démontrer comment l'Union Européenne pourrait aider aux états membres à combattre
le chômage, à réactiver la production et à faire face à la concurrence internationale.
Le travail a consigné les
bases pour un nouveau modèle de développement économique pour l'Union Européenne qui pourrait simultanéement combattre avec
tous les aspects de la crise économique qu'affrontait alors l'Europe lente croissance, manque de compétitivité, inflexibilidad
du marché de travail et produire un cycle vertueux récupération et augmentation dans l'emploi total.
Il
s'agit d'une analyse macro-économique lucide et incluse les forteresses et les faiblesses des économies européennes, qui en
même temps reflète les tensions et les difficultés de coordination des politiques économiques et de réalisation de consensus
qu'affrontent les pays du Vieux Continent.
La Commission propose deux stratégies pour dépasser
les problèmes des économies:
Un plan de redressement à court terme basé un plan à une grande échelle d'investissements en
infrastructure qui produisent haute croissance, intégration et davantage d' emplois, pour améliorer la compétitivité et fortifier
le marché interne de la Communauté européenne.
Une réforme des systèmes d'emploi au moyen de politiques pro-actives
qui introduisent des changements structurels sur les marchés de travail et atténuent les réglementations qui restreignent
le développement de nouvelles façons d'organiser le travail et de secteurs avec un grand potentiel pour créer des emplois,
spécialement dans le secteur de services.
Dans
ce que au développement d'infrastructure, la Commission recommande de souligner trois éléments essentiels : les réseaux trans-européens
transport, énergie et télécommunications ; le renforcement de la recherche scientifique et le développement technologique,
par l'augmentation du compromis financier les entreprises privées et de la provision d'appui étatique dans la forme de taxes
contributives plus faibles, stimulants pour former personnel scientifique et crédits contributifs par l'emploi de travailleurs
de recherche ; et la réaffectation de la technologie à de meilleures utilisations. Ceci dernier inclut l'utilisation de technologies information et communication pour repenser le développement d'infrastructure
et pour promouvoir des formes décentralisées d'organisation du travail (personnes qui travaillent depuis la maison par l'utilisation
d'ordinateurs).
Quant
à l'action dans l'avant de l'emploi, la Commission souligne la nécessité de comprendre et d'influencer l'interaction complexe
entre l'atmosphère éducative, les marchés de travail et le règlement de de ceux-ci, et les programmes protection et bien-être
social qui sont liés avec la condition d'emploi des personnes. On critique
gravement le manque de flexibilité des marchés de travail européens dans des aspects comme l'organisation du temps de travail,
le paiement et la mobilité, l'effet défavorable des programmes de protection sociale (qui tendent à aider aux personnes déjà
employées et empêchent le recrutement de nouveau personnel), l'excès de bénéfices marginaux (qui réduit l'offre de main d'oeuvre
aux salaires existants) et l'inefficacité des agences d'emplois.
La
Commission propose des réformes pour combattre avec la structure et durée du temps de travail, suggère que se on la tendance
à réduire la force de travail et augmenter l'utilisation de capital, il promeut l'élimination d'obstacles aux petites entreprises
(fournir à celles-ci l'accès au crédit et à l'information sur les technologies de production, réviser les restrictions financières
et administratives, etc.). En outre, il plaide pour l'extension
des occasions d'emploi (au moyen d'alliances entre le gouvernement et le secteur privé) et il souligne la réforme du système
éducatif (en incluant le concept d'un système d'enseignement-apprentissage qui est pour toute la vie) et des méthodes instruction
technique et éducation continue. Finalement, il aspire à améliorer l'efficience
les services et les agences d'emploi.
Michael Porter
The Competitive Advantage of Nations
Dans ce livre
Porter il utilise les théories sur la stratégie compétitive et le développement d'avantages compétitifs dynamiques qu'il a
formulé dans ses premières oeuvre-théories qui sont un défi au vieux concept d'avantages comparatifs basés les ressources
naturelles ou sur la capacité industriel-pour explorer les facteurs qui font que les signatures et les industries d'une nation
soient compétitives sur les marchés globaux et propulsen la totalité de l'économie du pays.
Porter
et ses associés ont mené à bien une recherche dans dix pays hautement industrialisés, en focalisant l'attention dans les patrons
de succès économique ainsi comme dans les stratégies utilisées par les compagnies et dans les politiques économiques nationales
qui ont aidé à créer le climat d'affaires qui a rendu propices les actions de ces compagnies à succès.
De
cette manière Porter a identifié les causes déterminantes fondamentales de l'avantage compétitif national dans une industrie,
à savoir, le diamant célèbre qu'ils forment: la condition des facteurs de production ; les conditions de demande au niveau
national, les industries ravitailleuses et d'appui ; les conditions dans le pays qu'ils déterminent comment les compagnies
se croient, manient et organisent ; et la nature de la rivalité commerciale au niveau domestique. Il explique aussi le rôle vital que jouent les « clusters » ou les groupes signatures
et industries en rapport qui obtiennent acquérir la direction dans la production mondiale. Sur base de sa théorie de la compétitivité, l'auteur identifie les étapes du développement compétitif des nations
et fournit un plan d'action pour obtenir que la politique du gouvernement aide à fortifier la compétitivité nationale.
Dans
le chapitre intéressant de cette vaste oeuvre que Porter consacre à la politique gouvernementale, on souligne l'importance
de cinq éléments vitaux dans la forge de la compétitivité de la nation:
L'amélioration de la qualité des ressources humaines par le biais de
l'éducation et de l'instruction.
L'appui à la science et la technologie (recherche et développement).
La modernisation de l'infrastructure, spécialement de infrastructure spécialisée conçue pour favoriser des industries
spécifiques, ce qui inclut le concept traditionnel (routes, aéroports, etc. ) ainsi qu'activités culturelles et d'agrément.
Actions pour fournir l'accès au crédit et réduire les coûts du financement l'investissement
privé et le contrôle des déficits budgétaires pour éviter que le gouvernement, dans sa recherche de fonds pour financer le
déficit budgétaire, induise l'existence de hauts taux d'intérêt.
Amélioration la quantité et la qualité de l'information qu'utilisent
les signatures pour prendre des décisions : on requiert une information la haute qualité et l'accès facile tant dans ce qui
à l'économie nationale comme à l'économie globale.
Débit Resources Inc.
Review of the U.S.
Economy : Ten Year Projections
Il
convient de fermer cette section avec une description de la projection plus récente à long terme qui a effectué la signature
de prévisions macro-économiques de davantage de prestige dans des États Unis, puisque de cette manière on obtient un profil
quantitatif du futur qui est aperçu pour les Etats-Unis, l'plus important cadre de référence de l'économie de Puerto
Rico.
Dans
sa projection de tendance et d'activité cyclique ou de scène à à laquelle on assigne davantage de probabilité pour la période
de de 1995-2005, DRI anticipe les tendances suivantes:
L'économie montrera des variations lisses dans son taux annuel de croissance et il s'approchera
à un chemin de croissance équilibrée modeste.
Le produit brut interne réel des Etats-Unis croîtra à un taux annuel interviens de de 2.7 pour
cent dans la période de de 1994-1997 et sera encore ensuite avancé un taux moyenne de de 2.3 pour cent.
Les forces démographiques restreindront la croissance de la force travailleur
et la productivité croîtra modérément. On nivellera le taux de fertilité
à un niveau de de 2.1, l'espoir de vie sera de de 82.1 années et l'immigration nette montera à à 880.000 par année.
L'inflation se stabilisera autour des 3.6 pour cent.
La Réserve Fédérale maintiendra une politique anti-inflationniste plausible,
mais ne poursuivra pas l'objectif d'absolue stabilité de prix (ou inflation égale à à zéro). Le taux de fonds fédéraux se stabilisera dans le parcours de de 5.2-5.5 pour cent de de 1996 à à 2005. Il y aura des fonds suffisants pour promouvoir une croissance stable
du crédit.
Les prix énergétiques croîtront plus rapidement que l'inflation : 5.3 pour cent en comparaison
avec 3.6 pour cent. On n'anticipe pas d'embargos pétroliers, dont l'impact est généralement l'accélération soudaine des prix
énergétiques.
Peser de nombreuses tentatives d'équilibrer le budget, le déficit fédéral
ne se déplacera jamais sous les 2.3 pour cent du produit brut interne: il baissera de $171 billions en 1996 à $122 billions
en 2001.
Le déficit de compte courant, se développera à $250 billions, dans la mesure dans des
excédents dans les services ils ne pourront pas compenser l'accroissement dans les importations.
La combinaison de politiques fiscales négligentes et politiques monétaires serrées, ensemble
à la forte demande globale de capital de long terme, maintiendront hauts les taux d'intérêt réels et les rendements des liens.
Les hauts taux d'intérêt et l'inflation modérée éviteront toute dépréciation
substantielle du dollar.
IV. SYNTHÈSE DES OEUVRES PRINCIPALES
Dans cette quatrième partie
se présente une synthèse de la discussion des oeuvres principales, en concentrant l'attention les sujets et les tendances
dominantes et on essaye d'identifier les éléments de consensus que suggère la littérature consultée.
Sans doute l'enseignement
de base qui est obtenu de cette pérégrination longue et tortueuse par la vaste littérature sur la situation de la société
post-industrielle est que le monde se trouve dans une étape nouvelle et révolutionnaire en ce qui concerne l'organisation,
la structure et la dynamique tant des économies nationales comme de l'économie globale émergente.
Cette
réalité oblige ce qui est théoriques, analystes ou chercheurs de toutes les disciplines (économistes, planificateurs stratégiques,
politologues, sociologues, éducateurs, philosophes et futuristes en général) restructurer ses analyses, renouveler ses théories
et repenser les stratégies d'action qui devront la recommander aux entreprises, les personnes et aux gouvernements pour répondre
aux défis de la réalité mondiale changeante.
Il s'agit d'une conjoncture dans laquelle toutes les idées, méthodes et valeurs établies
sont sous feu et elles combattent à bras divisé avec les nouvelles orientations de l'économie, la culture, l'art et la politique.
Avant tout, la vitesse, la variété, l'intensité et limitée predictibilidad du changement obligent à toutes les institutions
(corporations, universités, institutions sans but lucratif, gouvernement locaux et nationaux et organismes internationaux)
à développer système de pistage, analyse et monitoría de l'atmosphère externe, qui dans beaucoup de cas est généralement la
totalité de l'économie et du processus politique globaux, pour réagir avec efficacité devant les nouvelles affaires (tendances
et événements) et développer des réponses effectives qui diminuent le risque, ils augmentent la probabilité de profiter des
occasions qu'ils apparaissent et permettent de planifier efficacement pour le futur.
Il convient maintenant d'énumérer, en manière plus spécifique, les sujets et les idées
dominantes qu' on a obtenu identifier dans cette exploration. Il n'est
pas nécessaire de retourner en arrière et d'indiquer dans chaque cas quels sont les auteurs qui sont d'accord ou sur descuerdo
avec les idées dominantes identifiées, puisqu'il s'agit d'éléments de consensus qui constituent la distillation de beaucoup
de lectures et qui pourraient largement varier selon la perspective intellectuelle, la formation académique et l'expérience
vitale de chaque observateur qui essaye de rendre un exercice semblable. Il est possible qu' un ensemble interdisciplinaire
d'observateurs puisse arriver à un consensus moins incliné pour les éléments économiques de la littérature analysée, peut-être
en la donnant davantage de poids aux aspects philosophiques, sociologiques, administratifs ou de planification de de celle-ci,
ce pourquoi ce travail aspire seulement à être une invitation au lecteur à auquel il effectue une pérégrination semblable
et arrive à ses conclusions propres. Vu fructueuse ce qu'a été l'exploration qui a été faite dans cet essai, il n'entre pas
le moindre doute que la satisfaction intellectuelle d'un tel exercice est garantie à l'avance.
À de
grandes caractéristiques, de tels consensus, sont les suivants:
1.
La société post-industrielle une projection linéaire de tendances n'est pas une simple extrapolation du capitalisme
industriel et moins encore qui se sont progressivement accumulées au sein de la société capitaliste, mais un saut qualitatif
et quantitatif, un nouveau système qui exige une interprétation théorique différente, nouvelles analyses de recherche et la
conception de nouvelles stratégies de contrôle économique et social. Avant tout, il est du prendre en considération que ce
qui a été observé jusqu'à présent le seul le début, la phase initiale, d'une transformation profonde qu'il inclut à tous les
pays du globe et qu'avance à des pas agigantados sous l'élan de la révolution scientifique et technologique.
2.
L'effondrement de comunismo et l'adoption de la route capitaliste et démocratique en Union Soviétique et dans les pays de
l'Est de l'Europe et l'introduction partielle de quelques institutions de coupe capitaliste (le libre marché, le système de
prix, le dérèglement de certaines activités productives) en Chine, comme la restauration des processus démocratiques (dans
le sens élections libres et processus parlementaires authentiques) dans une multitude de pays de l'Asie, l'Afrique et l'Amérique
latine, ont porté ainsi à l'hégémonie, à l'échelle mondiale, du capitalisme (déjà marche la société capitaliste post-industriel)
comme système économique et de la démocratie libérale comme système politique.
3. La convergence
mondiale vers le capitalisme et la démocratie libérale, et la distension politique entre les deux grandes puissances nucléaires,
sont accompagnées de tensions croissantes avec des pays qui se à leurs valeurs politiques, culturelles et religieuses et résistent
à l'impact écrasant des institutions qui prédominent dans les pays occidentaux. Cette situation requiert l'attention plus soigneuse des organismes internationaux et la conception de méthodes de
réduire les conflits régionaux et résoudre en manière pacifique les tensions graves (ou dans quelques cas guerres ouvertes)
qui sont observées dans quelques points de la planète.
4. En termes qualitatifs, on requiert de restructurer les systèmes
de gouvernement, en donnant une plus grande participation à ceux qui souffrent l'impact des décisions (citoyens individuels,
Communautés, entreprises, groupes de
intérêt), améliorant l'efficience et en réduisant le coût du travail administratif et régulateur
de l'état. De manière égale, il est impératif de réviser (entre d'autres choses) les politiques publiques qui font allusion
au travail, la promotion de la science et la technologie, le développement des affaires (en soulignant l'importance des petites
affaires), la protection de l'atmosphère, la sécurité des citoyens, la croissance industrielle et les relations commerciales
et financières avec d'autres pays. Le gouvernement doit encourager l'innovation technologique, la recherche et le développement
scientifiques, la diffusion de la connaissance scientifique sur les processus de production et l'accessibilité des petites
affaires tant au financement comme les connaissances et les techniques de production qui sont nécessaires pour augmenter la
productivité dans la manufacture, l'agriculture, le commerce et les services. De manière égale, le gouvernement doit entamer
une transition de l'état assistancialiste vers un système qui dépend plus de la capacité productive et de l'initiative des
personnes, de sorte que les aides du gouvernement on utilise pour améliorer les habiletés et le potentiel des personnes, augmenter
la participation de travail et réduire la dépendance.
5. En termes
quantitatifs, la nouvelle technologie disponible pour le développement des processus productifs de biens et les services rend
possible une augmentation significative dans la productivité et augmente la capacité des entreprises et des individus pour
se profiter des occasions qui apparaissent sur les marchés (ou au niveau local, national et global), mais, en même temps,
l'adoption de cette technologie il produit des tensions économiques et sociales de grande ampleur, entre elles le chômage
technologique et les impacts environnementaux qui à beaucoup d'occasions sont défavorables, et obligent à développer des méthodes
contrôle et mitigation de ces extériorités négatives.
6.
Un aspect positif de la nouvelle technologie de communications est l'énorme pouvoir d'information qui place entre les mains
des citoyens et des entreprises, ce qui contribue à renforcer les tendances à la décentralisation du pouvoir politique et
économique (à l'échelle nationale et globale) et fortifier le pouvoir politique et économique des individus et des organisations.
7.
Les sujets récurrents de la littérature du Club de Rome ont aujourd'hui davantage d'utilisation que jamais : le contrôle de
la croissance démographique, la réduction dans le rythme d'utilisation des ressources naturelles, le contrôle de la pollution
et la recherche de sources renouvelables d'énergie sont impératifs catégoriques des économies post-industrielles pour obtenir
le développement économique soutenable à long terme.
8.
Pressée tant par le développement de région-l'état et les tecnópolis au niveau interne comme par l'importance croissante et
l'influence des organisations régionales et internationales au niveau externe, nation-l'état a vu diminué son rôle dans le
contrôle des affaires économiques et politiques nationales et elle sera obligée de modifier substantiellement ses politiques
fiscales, monétaires et de développement économique pour répondre plus adéquatement au nouvel ordre mondial. Évidemment, nation-l'état sera encore la principale unité de décision
sur le plan international, mais devra partager ses décisions avec les pouvoirs qui apparaissent tant dans la sphère intranacional
comme dans la dimension internationale.
9.
Le développement de l'infrastructure, comprise tant dans le sens physique traditionnel (routes, ports et aéroports, etc.)
comme dans le sens plus vaste qu'infrastructure scientifique et technologique, réseaux de
des communications, du système d'éducation et d'attention médicale, d'ordre
de l'activité culturelle et de développement d'un climat politique stable et propice pour l'exercice de l'activité productive,
est un élément central, une condition sine qua non, pour la réalisation de la compétitivité internationale. Dans l'aspect
physique, on requiert infrastructure hautement spécialisée, orientée l'utilisation et l'assimilation de la technologie informatique,
qui sert aux intérêts les entreprises ou les groupes d'entreprises qui existent ou qui on veut attirer au pays, lui quel doit
être accompagné du développement correspondant de la capacité administrative, la base de capital (machines, équipement et
structures industrielles et commerciales) et la base d'habiletés intellectuelles et techniques de la population.
10.
À l'intérieur de l'infrastructure, on doit souligner l'importance stratégique du réseau de communications. Le développement d'un réseau mondial moderne de télécommunications est un facteur crucial
dans la révolution informatique émergente. Éléments tels comme les câbles de fibre optique, les satellites de communications,
les téléphones cellulaires, les réseaux d'ordinateurs, les services internationaux d'information en ligne, les machines de
fac-similé, et tous les éléments mises en rapport avec ce qui sera connu comme l'« autoroute informatique » sont
absolument nécessaires et méritent la plus haute priorité dans les plans d'investissement des pays qui prennent part en flux
mondial biens et produits et, avant tout, d'information. Les réseaux de communication et les autoroutes d'information non
seulement sont des facteurs clef dans l'ordre productif post-industriel, mais la meilleure garantie sont des forces liberadoras
et que devront prédominer dans le futur les sociétés libres et ouvertes.
11.
Vu l'importance stratégique de la connaissance dans la structure économique de la société post-industrielle, la réforme des
systèmes éducatifs (publics et privés, pré-universitaires et universitaires) et des systèmes d'instruction technicien-professionnelle
est aussi un impératif pour la réalisation de la compétitivité. Les comparaisons internationales démontrent il est évident que les pays qui ont atteint davantage de développement
éducatif, qu'ont restructuré avec davantage d'efficacité les façons de disperser la connaissance et l'appliquer à la prise
de décisions et la production biens et services elles sont ceux que davantage de capacité compétitive et succès ont obtenus
sur le marché international. Outre les habiletés intellectuelles et techniques que requiert la nouvelle économie globale,
la formation des ressources humaines doit avoir une halte composante de connaissance sur d'autres cultures et philosophies
de vie.
12.
La vitesse, l'ampleur et l'intensité du changement qui est observé à l'échelle globale oblige à tous les pays, et dans un
plus grand degré encore aux pays en développement, à concevoir et implanter des politiques nationales de développement économique
claiux, explicites et viables et à agir avec hâte non seulement en ce qui concerne la création ou le renforcement des composants
de base de la compétitivité - développement habiletés, accès à la technologie, disponibilité de capital, amélioration de l'infrastructure,
changement dans le climat contributif et régulateur mais aussi dans l'introduction de programmes qui tendent à améliorer la
qualité atmosphère-l'eau et de air-y la qualité de la vie en général : réduction le chômage, de la pauvreté et la criminalité
; amélioration des facilités divertissement et récréation ; et je favorise les arts et de la culture.
13.
À différence du passé, quand l'avantage compétitif était dans bonne mesure déterminée par la dotation de ressources naturelles
et la possession d'actifs de capital fixe, les avantages compétitifs dans l'économie globale d'aujourd'hui sont déterminés
sur base d'actifs variables et dynamiques, ce qui permet que les pays, les régions et les signatures aient davantage d'interférence
dans la forge de leurs destins propres. La qualité, la
portée et le dynamisme du gouvernement, l'interaction effective entre les entreprises nationales, la coordination des actions
du secteur privé avec la politique publique, la capacité pour identifier et pronostiquer des affaires et des tendances et
le développement de plans de long terme se transforment avantages compétitifs dynamiques très précieux pour obtenir le développement
économique soutenable.
14.
Un élément essentiel du développement de la compétitivité est la pleine disposition d'information à jour et de haute qualité
sur la situation et les tendances de l'économie en général et des industries ou des groupes d'industries (« clusters »)
au niveau national et régional, ainsi que d'information confiable sur les tendances et les prévisions de l'activité économique
dans d'autres pays et régions. En particulier, il est nécessaire d'examiner
le potentiel d'exportation biens et services du pays à la lumière des forteresses des industries nationales et du potentiel
de demande qui existe dans certains pays et sur le marché global en général.
L'investissement
en information confiable, de haute qualité, et dans études sur la structure et l'évolution de l'économie nationale et de ses
industries est tellement important comme tout autre élément clef de l'infrastructure économique.
15. Entre les industries qu'a un futur indubitablement
promisor dans la nouvelle économie mondiale ils sont : la microélectronique, le
biotechnologie (drogues, plantes génétiquement altérées, produits biochimiques, produits bioremediativos
et produits pour améliorer la santé des animaux), les industries de nouveaux matériels (métaux, biomatériaux, matériaux électroniques
et céramique), les télécommunications, l'aviation civile, la robotique et les outils en général, et les ordinateurs plus le
composant de développement de programmation spécialisée et de haute qualité.
IV. SUJETS ET TENDANCES PLUS IMPORTANTES POUR PORT RICHE
L'habile ou studieux de la réalité économique et sociale
de Puerto Rico ne doit pas forcer beaucoup l'imagination pour se rendre compte que, dans une plus grande ou plus petite mesure,
tous les sujets dominants qui sont identifiés dans la littérature sur la situation de la société post-industrielle ont des
équivalents ou des parallélismes (ou franchement ils sont dans plein utilisation) en Puerto Rico, sans qu'il manque un qui
autre aspect dans lequel la tendance observée ici est divergente de la tendance mondiale.
Or, est proverbiale la signalisation dont toute discussion sur la situation
et les perspectives de l'Île aboutit à long terme le débat sur le status politicien. Un corollaire apparent de cette
assertion est qu'il ne vaut la peine examiner à fonds aucune affaire ni poser une stratégie de développement à long terme
pour l'Île s'il suit encore sans être résolu le dilemme sur la structure juridique-politique dans laquelle on encadrera toute
stratégie future.
Sans
doute, le meilleur argument contre la stratégie de l'inaction ou de l'attente indéfinie à à laquelle on résout le problème
de le status c'est le sens d'urgence, d'action immédiate, qui transmet aux lecteurs pratiquement toute la littérature
examinée dans ce travail. Il n'importe pas dans lesquel
manière est interprétée ou comme un avantage compétitif redoutable ou comme une limitation grave pour les possibilités de
développement économique et politique île-La de l'actuelle structure juridique-politique de Port riche-Ce qui est État Libre
Associé survivra sans amendement pour une période suffisamment longue comme pour rendre très coûteuse (étant donné la perte
d'occasions de bénéfice économique et l'accumulation de dommages environnementaux et sociaux qui pourrait être évité) la stratégie
de l'inaction dans celui monde post-industriel dynamique, changeant et hasardeux. Il s'ensuit qu'il est impératif que, à la lumière de la discussion précédente, on identifie un ensemble de secteurs
de décision qui il sera nécessaire d'analyser plus à fond, dans un travail futur, pour obtenir que Port Riche réponde avec
la plus grande efficacité, rapidité et précision possibles (reconnues d'une part , les avantages compétitifs et d'autre part,
les restrictions ou les limites qu'il peut impliquer le status politicien en vigueur) les défis et les occasions que
présente l'économie globale.
Afin de discipliner la discussion,
il est préférable d'examiner dans les grandes lignes, et avec esprit de consigner les bases pour une analyse en profondeur
dans le futur, l'insertion de l'Île dans chacun des sujets ou les tendances générales de la société post-industrielle identifiés
dans la section précédente.
1.
Le changement économique, social et technologique accéléré qui a éprouvé l'Île pendant les dernières quarante années il y
a lesquelles Port Riche est une des meilleures plates-formes d'observation du phénomène de la société post-industrielle. Tendances comme la transition rapide de l'économie agricole à l'économie industrielle,
la transition d'industries manufacturières intensives en main d'oeuvre à des industries de haute technologie, la migration
interne envers les grands centres urbains, le développement accéléré de l'infrastructure économique, la modernisation de l'administration
publique, la restructuration de la base de capital humain par le biais d'investissement massif dans l'éducation et dans l'instruction
dans les centres de travail, et la diffusion de la technologie avancée à partir du secteur manufacturier font partie de l'histoire
récente de l'Île et ils ont été étudiés avec des soins suprêmes à travers les années. Évidemment, pour comprendre la manière
dans laquelle on développe la société post-industrielle dans l'Île, est nécessaire d'étudier avec rigidité les manières particulières
d'insertion dans l'économie globale que Port Riche a essayée, par le biais les activités exportation et importation des entreprises
multinationales et des entreprises de capital local qui commencent à faire des incursions sur le marché mondial.
2.
La tradition économique et politique de l'Île place au pays dans le courant général du dominion du capitalisme et de la démocratie
libérale. Un aspect intéressant est que la taille du secteur public en Puerto Rico, produit du rôle central qu'a joué le gouvernement
dans la phase initiale de développement économique, correspond plutôt à la tradition de l'état keynésien, al style du Nouveau
Traitement et de quelques pays latino-americains comme le Vénézuéla, et il se écarte par tant du courant de privatisation
qu'il a déjà pris corps dans beaucoup des pays hautement industrialisés. Il n'est pas étrange qui les actions de privatisation ont gagné terrain récemment, comme il n'est pas non plus rare
que celles-ci aient affronté forte opposition du secteur de travail et de divers cercles de discussion intellectuelle de l'Île.
3. On doit examiner
avec des soins suprêmes les implications qu'aurait pour l'Île un processus d'ouverture de Cuba, le pays le plus populeux,
l'économie d'un plus grand potentiel productif dans la région des Caraïbes et un le de peu de pays qui se encore à une version
orthodoxe du socialisme. Vu la possible existence
d'aspects complémentaires quant au développement économique futur entre Port Riche et Cuba, qu'ils suggèrent que l'Île pourrait
jouer un rôle significatif dans la canalisation d'investissement externe et dans le transfert connaissance patronale et technologie
envers ce pays, la surveillance des tendances naissantes vers la démocratisation et l'introduction d'aspects de marché
libre dans l'économie cubaine c'est une tâche de haute priorité dans toute analyse sur le futur de l'économie de Puerto Rico.
4.
La discussion sur le rôle, la taille, l'efficacité du gouvernement de Port Riche, qui inclut aussi la préoccupation pour la
taille de la dette du gouvernement de Port Riche et la situation financière des corporations publiques, a gagné intensité
pendant les dernières années et il est sans doute une des matières prioritaires dans tout plan de développement économique
de l'Île. Vu la participation significative du gouvernement dans l'économie,
tant par le biais de l'administration centrale et les communes comme pour motif du rôle central que jouent les corporations
publiques dans le développement de l'infrastructure, actions qui aspirent à démonter la structure du secteur public auront
des impacts macro-économiques significatifs et affronteront féroce opposition de divers groupes d'intérêt, particulièrement
des unions des corporations publiques. Plus important pour l'Île le futur des programmes d'assistance sociale est aux Etats-Unis,
qui sera une synthèse entre les aspirations reduccionistas de la majorité républicain dans le Congrès et la philosophie démocrate
de l'Administration Clinton. Dans la mesure où les
citoyens de Port Riche reçoivent une significative quantité de transferts fédéraux (le bilan net de de ces dernières a monté
à à $3.855.4 millions durant l'année fiscale 1994), l'analyse et le suivi des tendances du système d'assistance sociale dans
des États Unis est un élément de base pour comprendre l'exercice et pronostiquer la trajectoire de l'économie de Puerto Rico.
5. Une des raisons pour lesquelles le taux de chômage est encore
haut en Port Riche (16.0 pour cent durant l'année fiscale 1994) est que l'expansion d'emploi total a été restreinte par la
tendance des signatures, spécialement celles qu'ils opèrent dans le secteur manufacturier, à adopter des techniques de production
intensives en capital, en partie étant donné la tendance ascendante du coût de la main d'oeuvre et en partie en réponse à
la haute productivité et la réduction du coût de financement des machines et l'équipement. Ainsi, l'emploi manufacturier est resté pratiquement étanché depuis l'année fiscale 1988 (dans le parcours de de
163.000-168.000 selon l'Enquête de Logements), dans une période où le produit brut interne de la manufacture a augmenté à
un taux annuel interviens de de 7.6 pour cent. Des processus semblables ont été observés dans la construction, les finances,
le transport et les communications. Ainsi, l'avance de l'emploi total pendant cette période a été due plus grandement au commerce,
le secteur de services et le gouvernement. Ces tendances sont suprêmement préoccupantes dans une économie dans laquelle il
existe un massif excédent d'offre de ressources humaines, une grande partie dont il ne se montre pas dans les statistiques
de chômage étant donné le bas taux de participation de travail qu'il caractérise à l'Île (46.1 pour cent durant l'année fiscale
1994). De toute évidence, donc, il faut étudier en profondeur le problème de chômage technologique croissant dans l'Île, qui
pourrait être aggravée au fur et à mesure qu'on consolide la tendance à la restructuration corporative, les techniques administratives
de réduction de personnel et l'incorporation des technologies informatiques dans les centres de production. Vu que ces processus
sont irréversibles dans la logique d'opération de la société post-industrielle, peut-être la meilleure stratégie pour combattre
avec l'affaire est l'accroissement de l'investissement dans des programmes instruction et readiestramiento, concentrés la
connaissance et l'utilisation de technologies informatiques - réseaux information, systèmes d'information en ligne, réparation
d'équipements électroniques etc.-appliquées à la production et de la commercialisation, qu'aident aux personnes déplacées
de leurs postes de travail à être reclassé sur le marché de travail et elles augmentent les occasions d'emploi des personnes
margées.
6. La diffusion
de la technologie d'ordinateurs dans l'Île est tellement accélérée comme dans tout pays hautement industrialisé. Non moins
important le fait est que le secteur public et l'entreprise privée dans toutes ses manifestations ont incorporé la technologie
d'ordinateurs en manière massive. Dans le cas des familles consommatrices, l'ordinateur, la machine de fac-similé, le téléphone
cellulaire et les « beepers » on a tornade équipements abondants et communs qui à long terme seront tellement accessibles
comme les téléphones conventionnels et les téléviseurs. Ce développement on peut considérer un signal que l'entrée de Port
Riche à à elle était de l'informatique, qui attend encore par une étude méticuleuse sur sa nature et atteint, est déjà une
réalité indéniable.
7. Puerto Rico constitue
un cas classique pour examiner empiriquement les thèses du Club de Rome, puisque dans l'Île on observe toutes les tendances
qui préoccupent aux environnementalistes : haute croissance démographique, haute densité démographique, participation significative
de la manufacture dans l'économie, forte pression de l'activité économique sur une limitée base de ressources naturelles,
accentuée tendance vers la consommation et difficultés sérieuses dans la disposition de déchets solides et toxiques, excessive
de dépendance du pétrole pour la génération d'énergie électrique, et hauts niveaux de dégradation environnementale (air, eau,
sols, aquifères, zones costaneras, etc.). Il s'ensuit que l'évaluation
de du politique contrôle et protection environnementale et la discussion des échanges inévitables (« trade-offs »)
entre la croissance économique et la qualité de l'atmosphère soient des éléments centraux dans l'agenda sur le futur de l'Île.
8.
Bien que Puerto Rico ne soit pas nation-état (ce pourquoi il ne prend pas part directement les organismes internationaux)
ni non plus région- une région dans des États Unis (ce qui implique qu'il n'a pas de divergences fondamentales de politique
économique avec cet nation-état) la structure juridique-politique de l'Île, l'État Libre Associé, n'entraîne pas l'autonomie
fiscale et un vaste domaine d'action propre dans la conception et l'implantation de la politique publique, le financement
et le développement de l'infrastructure, le maniement de la dette publique, le règlement des processus de production et la
conception et l'implantation des normes de travail et des règlements environnementaux, pour seulement mentionner quelques
aspects de base. De manière égale, le gouvernement de
Port Riche doit maintenir une surveillance ferme des actions législatives du Congrès, des actions administratives du Président
et des accords commerciaux que les Etats-Unis adopte avec d'autres pays (les cas récents sont ESSENCE et GATT) qui de d'une
manière ou d'un autre ont impact sur l'Île, en procurant qu'à tout moment les intérêts du pays soient pris en considération
au moment de prendre des décisions. Il n'y a pas le moindre doute dont sous la présente structure l'Île est hautement vulnérable
à des changements dans la politique domestique et extérieure des Etats-Unis, mais au même temps les bénéfices qu'implique
l'intégration commerciale avec les Etats-Unis, le libre flux biens, services, capital et ressources entre les deux économies,
l'accès au marché de capital plus grand que le monde, et la grande variété d'aides économiques que Port Riche obtient de cette
relation compensent de manière décisive les coûts qu'entraîne une telle vulnérabilité. Ce qui est certain est que le gouvernement
de Port Riche en matière de politique fiscale, de provision d'infrastructure et de développement d'un climat d'investissement
approprié a un rôle semblable, bien que clairement plus petite portée et d'impact, à à celui de d'une nation-état.
9.
Tant en termes quantitatifs comme qualitatifs, l'investissement en infrastructure a montré une amélioration significative
depuis le milieu de la décennie de des 80, tendance qui s'est accentuée pendant les dernières trois années fiscales, quand
l'investissement en infrastructure (interprétée dans le sens traditionnel) a dépassé le niveau de de $2.0 billions et a constitué,
en moyenne, les 8.6 par cent du produit brut. En vue de financer essentiellement l'expansion de l'infrastructure de base,
déjà pour l'année fiscale 1994, la dette publique de Puerto Rico montait à à $15.3 billions, dont $10.8 billions étaient dette
des corporations publiques. Encore ainsi, étant donné
tu manques dans le processus de planification de l'infrastructure et à la grande pression qui a produit resurgir de l'économie
de l'Île pendant les dernières dix années, ils ont commencé à être observés tu manques dans les systèmes de base particulièrement
en production et distribution d'eau et dans plus petit degré dans la capacité génératrice d'énergie électrique ce qui uni
à la préoccupation croissante sur l'insuffisance des systèmes de disposition de déchets solides et toxiques, l'augmentation
inouïe dans le nombre de véhicules à moteur et l'absence d'un système de transport rapide en masse (qu'il pourrait être corrigé
en partie si on obtient la construction du Train Urbain) ont produit un espoir de crise imminente dans cet important composant
du développement économique. Sans doute, les réalisations dans le domaine
de la téléphonie et dans le développement de l'infrastructure de télécommunications en général sont la contrepartie de de
elles prononces en haut indiquées. Il demande expressément, donc, une évaluation en profondeur des problèmes d'infrastructure
que confronte l'Île et le développement d'une coordination effective du développement d'infrastructure devient impératif à
long terme, en prenant en considération les exigences de la nouvelle économie mondiale.
10. Puerto Rico dispose une avancée infrastructure de communications
et il se déplace vers la pleine intégration avec les autoroutes informatiques. Plus spécifiquement, on a créé un réseau de communication de haute vitesse, qui constitue la base pour le développement
des services multimedios (voix, image et données), on dispose des techniques de transmission de données plus avancées (par
le biais de la fibre optique) et le système téléphonique est cent pour cent digitalisé. Comme tout pays qui prend part l'économie
globale, l'Île devra continuer à investir dans la création d'un système de communications qui peut profiter au maximum de
la technologie moderne. Il faut évaluer le rôle des compagnies téléphoniques dans la transmission d'images, favoriser la concurrence
entre ces entreprises et améliorer la qualité de transmission des compagnies de télévision par câble. L'agenda analyse et
planification dans le domaine des télécommunications est un élément central de l'évaluation qu'il faut faire de l'infrastructure
de l'Île en général.
11. Le gouvernement de Puerto Rico consacre presque troisième partie de
son budget au développement du système éducatif public, qui inclut des offres académiques depuis l'école élémentaire jusqu'au
niveau doctoral, outre multiples options d'éducation technicien-professionnelle. Parallèle à l'effort
public, existe un vaste réseau d'institutions privées à tous les niveaux. Actuellement la population
universitaire de l'Île s'élève à environ à 160.000, de desquels quelque 100.000 sont assurés par les universités privées.
En outre, non moins de 6.000 étudiants puertorriqueños assistent à des universités les Etats-Unis et il existe un vaste réseau
d'instruction dans le travail à charge des entreprises privées et dans le plus petit degré du gouvernement. Il n'y a pas le
moindre doute que l'investissement dans des ressources humaines qu'effectue l'Île est substantiel, mais existe la perception
généralisée dont à tous ses niveaux l'éducation exige réforme et restructuration, une plus grande qualité et avant tout mieux
correspondance avec les nécessités de l'industrie et avec les réalités de la transformation scientifique et technologique
au niveau global. Quant au financement, persiste la préoccupation que dans le futur on réduise le flux d'assistance économique
fédéral-bourses et prêts aux étudiants et diminue par conséquent la demande d'études universitaires (vu l'impossibilité que
l'état compense cette perte), ce qui pourrait être funesto pour une grande partie les collèges et les universités privées
du pays. Par conséquent, dans l'agenda de discussion
sur le futur de l'Île pèse beaucoup la décision sur le bilan entre l'éducation privée et l'éducation publique et sur le type
aide ou stimulant économique que le gouvernement de Puerto Rico peut offrir aux
collèges et aux universités privées pour qu'ils obtiennent stabiliser leur situation financière à long terme.
12. La conception et l'implantation d'une politique de développement économique a
une longue tradition de Port Riche, étant ses expressions plus récentes le travail qu' a préparé en 1989 le Conseil Consultatif
Économique du Gouverneur, sous le titre Stratégie pour le développement économique de Port Riche : Vers la Seconde
Transformation Économique, et le document qu'il a rédigé en 1994 le Conseil de la Productivité Économique, Bureau
du Gouverneur, avec le titre de Nouveau Modèle de Développement Économique, lequel on résume la stratégie de développement
économique de l'actuelle administration. Dans les deux travaux on fait une allusion aux changements émergents dans l'économie
globale, on réexamine la trajectoire et les possibilités futures de l'Île et une nouvelle stratégie se présente pour concurrencer
sur les marchés globaux, qu'inclut la définition de priorités stratégiques et elle souligne l'importance d'éléments comme
l'infrastructure, la recherche et le développement, l'éducation, le rôle du gouvernement et la qualité de vie. Ces documents
peuvent servir de guide à affiner, à la lumière de la littérature sur la société post-industrielle qui a été effectuée dans
ce travail, l'analyse des défis et les occasions que la société puertorriqueña affrontera dans le futur et l'identification
de du nouvelles et renouvelées stratégies qu'il sera nécessaire d'implanter pour obtenir que l'Île ait une insertion effective
dans le nouvel ordre mondial.
13. Dans la mesure dans laquelle les avantages compétitifs dans l'économie globale d'aujourd'hui
on détermine sur base d'actifs variables et dynamiques, le grand investissement que Port Riche a fait dans le développement
de ressources humaines il le place dans une position avantageuse pour accumuler richesse et produire recette par l'innovation,
la recherche et le développement, l'utilisation de la technologie dans la production et le transfert connaissance et technologie
aux pays les Caraïbes et de l'Amérique latine. À cet effet, il convient
d'examiner en profondeur les profils de succès corporatif d'entreprises de capital local, spécialement dans les domaines de
manufacture, finances et services professionnels. Certaines de ces entreprises exportent des biens et/ou des services avec
une grande efficacité et consignent la règle pour la formation de groupes entreprises et industries que créent des alliances
pour augmenter les exportations vers l'économie globale.
14.
Il existe un consensus entre les économistes et d'autres scientifiques sociaux en Port Riche dans autant qu'à la nécessité
de fortifier les bases de données et les systèmes de recherche économique et sociale du gouvernement. Non empece aux efforts extraordinaires des agences du gouvernement pour accomplir avec cette
charge, le budget assigné à ce secteur de la gestion publique il est très limité et l'ampleur de la tâche d'analyse statistique
se en proportion directe avec l'expansion de l'économie de Port Riche. La nécessité d'augmenter l'investissement en information
inclut aussi le développement d'intelligence économique sur les activités productives et les actions de promotion d'industries
des états des Etats-Unis (qui concurrencent avec l'Île dans l'attraction d'activité manufacturière) et sur le potentiel de
marché qu' offrent d'autres pays, spécialement ceux de la Cuenca des Caraïbes et l'Amérique latine. Les efforts que dans cette dernière direction a effectués à travers les années l'Administration
de Promotion Économique et les actions de la nouvelle Assemblée de Commerce Extérieur, qui développe un plan stratégique pour
la promotion des exportations de l'Île, méritent attention soigneuse.
15.
Certaines des industries qui montrent un futur promisor dans la nouvelle économie mondiale ont une présence appréciable en
Puerto Rico, à savoir : la microélectronique, la biotechnologie (par le biais des pharmaciens), les télécommunications, et
les ordinateurs plus le composant de développement de programmation spécialisée et de haute qualité. Ainsi, l'industrie d'instruments scientifiques et de précision, un des piliers de la manufacture
locale, dépend beaucoup de la demande de secteurs comme la biotechnologie, la recherche médicale et la protection environnementale,
à auxquels lui on prédit essor dans le futur immédiat.
Comme conclusion, il peut être dit que l'exploration de la littérature sur la situation
de la société post-industrielle rinde fruits appréciables. Ce qu' aux principes il brillait comme un voyage par « une
mer sans lettre de navigation » s'est transformé une excursion guidée par des capitaines capables l'analyse, de l'interprétation
et la prévision des divers aspects de la société post-industrielle, chaque de lesquels a ouvert un espace intellectuel riche
et varié, et a aidé à forger une vision ensemble, un certain degré de consensus avec respect à la réalité actuelle et de l'évolution
future de la société post-industrielle. Reflétée dans les composants
de base de ce consensus, la société puertorriqueña brillez à la hauteur des temps, plongée dans l'asservissant courant de
changement de la Communauté globale, et obligée de prendre une vaste gamme de décisions économiques, sociales et politiques
qui seront déterminantes pour qu' on obtienne un développement économique soutenable et un ordre social qui permet que chaque
puertorriqueño obtienne sa séance plénière potentielle comme être humain.
Comme il a bien indiqué le
Lic. Rafaël Hernández Colón dans le discours qu'il
a prononcé dans les derniers exercices de graduation de l'Enceinte de Ponce de l'Université Interaméricaine :
«
Ce qui est puertorriqueños nous faisons face à ce carrefour qui la pose était post-industriel avec tant en risque comme le
reste du monde, mais aussi avec beaucoup gagner. Si nos divisions
sur le politicien status nous permettent de former le but collectif nécessaire pour optimiser les occasions que présenter-y
celle-ci on nous est question ou grand-notre entrée d'abondance dans la société de l'information ou était post-industriel
il altérerait les prémisses du débat sur les problèmes séculaires du pays qui sont attachés à nos manques matériels et géographiques
"
Il correspond
maintenant que le Chapitre Puertorriqueño du Club de Rome, à la lumière de cet essai et de la vaste littérature qu'on a examiné
dans ce dernier, développe un groupe de travail dans lequel ils sont analysés et identifient, avec toute la rigidité qui est
possible, les défis et les occasions que la société puertorriqueña confrontera dans le futur et les stratégies qu'il sera
nécessaire d'implanter pour obtenir que l'Île ait une insertion effective et optimale dans le nouvel ordre mondial.
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